Au XIXe siècle, les grands écrivains ont été les chroniqueurs de leur époque. À partir de Balzac, le roman s'est attribué une grande ambition. Dans La Comédie Humaine, l'ambition de Balzac est de décrire toute son époque. Avec lui, on a une conception nouvelle du roman, c'est l'idée qui fait que la société ressemble à la nature et donc que le romancier doit faire une histoire des mœurs, et il doit décrire les différents types humains dans leur milieu, c'est ce que l'on appelle en littérature, le réalisme. Dans ses romans, Balzac va décrire les lois qui déterminent les comportements humains. Le but de l'écrivain est de rendre beaux les comportements, le réel, le but est de rendre compte fidèlement de cette réalité. Balzac n'est pas le seul, il y a également Victor Hugo, Flaubert…
[...] Elle a été la première femme à rentrer à l'Académie française en 1980. Elle marque le retour à une littérature très classique. Dans son roman L'œuvre noire publié en 1968, elle parle d'un humaniste de la renaissance qui a été persécuté. On peut mentionner un courant littéraire qui est l'oulipo (Ouvreur de Littérature officielle) ce courant a été créé en 1960 par deux écrivains qui sont Raymond Queneau et François Le Lionnais. Ils vont essayer d'expérimenter de nouvelles formes littéraires en s'imposant des contraintes de style. [...]
[...] En France le nouveau roman s'adresse à une élite, du coup il y a un fossé entre une littérature d'avant-garde (pas facile d'accès) et une littérature d'après garde Quelques grands romanciers : Pérec, Duras, Cohen, Yourcenar George Pérec est mort en 1982. Il a écrit La disparition (disparition de la lettre E.) en 1969 ; Les choses en 1965 ; La vie mode d'emploi On trouve beaucoup de référence à d'autres textes chez Pérec. Marguerite Duras, elle est née en 1914 et morte en 1996. Elle a écrit une cinquantaine de livres. Elle devient célèbre avec son roman L'amant 1984, ce roman va recevoir le Prix Goncourt et va avoir une adaptation cinématographique. [...]
[...] Dans ces années d'entre deux guerres, on a eu une modification fondamentale du roman. L'objet central du roman n'est plus le monde, mais la conscience, et le regard qui compte ce n'est plus celui du romancier, mais celui du personnage. Ce qui est le fil conducteur de la narration est la subjectivité dont Proust est le précurseur. En peinture, la sensibilité remplace la vision du monde, cela est parallèle à l'évolution de la littérature. III De Sartre à Butor Le roman existentialiste Il va dominer la production littéraire de 1938 jusqu'au milieu des années 1950. [...]
[...] Les naturalistes croient au déterminisme. On est dans une conception du roman comme une description du réel. Dans cette conception-là, on a un pacte de lecture, ici l'écrivain sait que le lecteur va s'instruire en lisant son œuvre, et le lecteur découvre la vie des autres et il peut donc avoir une vue d'ensemble sur son époque. Tout cela va avoir des conséquences sur la structure du roman. On a des événements qui vont être présentés logiquement et chronologiquement. On utilise le retour en arrière pour expliquer les événements. [...]
[...] Littératures au XXe siècle Au XIXe siècle, les grands écrivains ont été les chroniqueurs de leur époque. À partir de Balzac, le roman s'est attribué une grande ambition. Dans La Comédie humaine, l'ambition de Balzac est de décrire toute son époque. Avec lui, on a une conception nouvelle du roman, c'est l'idée qui fait que la société ressemble à la nature et donc que le romancier doit faire une histoire des mœurs, et il doit décrire les différents types humains dans leur milieu, c'est ce que l'on appelle en littérature, le réalisme. [...]
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