La littérature était, à une certaine époque, le seul moyen d'écriture pour exprimer les pensées et les idées. Il n'y avait pas, en effet, tous les moyens dont nous disposons aujourd'hui, tels que les multimédias. Les auteurs se servaient alors, et se servent toujours, d'ailleurs de ces écrits pour donner leur opinion sur certains sujets ou tout simplement raconter une histoire sous forme de récits. Plusieurs thèmes tels que la peine de mort, le racisme, la famine, ont été abordés dans les livres et ont amené les lecteurs à réfléchir et même à réagir face à ces problèmes (...)
[...] FRANCAIS SUJET DE DISSERTATION: Dans quelles limites la littérature peut-elle contribuer à transformer la société ? DISSERTATION: La littérature était, à une certaine époque, le seul moyen d'écriture pour exprimer les pensées et les idées. Il n'y avait pas, en effet, tous les moyens dont nous disposons aujourd'hui, tels que les multimédias. Les auteurs se servaient alors, et se servent toujours, d'ailleurs de ces écrits pour donner leur opinion sur certains sujets ou tout simplement raconter une histoire sous forme de récits. [...]
[...] L'auteur dénonce à la fois le taux de suicides trop élevé, mais aussi l'inaction de l'Etat face au pouvoir des sectes. Malgré un témoignage poignant et des arguments minutieusement choisis, les sectes sont toujours énormément présentes à notre époque car les autorités ne prennent pas de mesures concrètes contre celles-ci et les taux de suicides chez les jeunes ne cessent de croître. La littérature est ensuite très limitée dans le sens où l'on manque de preuve d'authenticité dans nos lectures. [...]
[...] On peut aussi prendre en exemple la littérature clandestine qui s'est développée durant la Seconde Guerre Mondiale. Dans l'Almanach des Lettres Françaises, publiée en mars 1944 par le Comité multinational des écrivains et réimprimé en 2002, Jean Blauzat écrit que dans un peuple qui perd la liberté, personne n'est plus vite ni plus gravement atteint que l'écrivain Cet auteur nous explique que dans un pays occupé par l'ennemi, l'écrivain est réduit au silence et remplacé par de simples commentateurs des mots d'ordre. [...]
[...] Dans un premier temps, nous allons prouver que la littérature apporte bel et bien sa contribution pour transformer la société, tout d'abord, grâce aux dénonciations de certains auteurs. Par exemple, aux XIX et XXèmes siècles, beaucoup d'écrivains ont dénoncé la peine capitale. Dans le Dernier jour d'un condamné, Victor Hugo se met dans la peau d'un condamné à mort quelques semaines avant son exécution pour nous faire partager ses sentiments. Dans Réflexions sur la guillotine , Albert Camus affirme que la peine de mort souille notre société et ses partisans ne peuvent la justifier en raison Après ces publications, Robert Badinter, ancien avocat devenu ministre de la justice, se bat pour l'abolition de cette peine et l'obtient en 1981, après l'élection de François Mitterand. [...]
[...] Des gitans jusqu'aux juifs, en passant par le Jaune envahissant il passe en revue toute l'histoire de ces hommes et tente de prouver que l'on est tous égaux, malgré tout. La littérature a donc toujours eu un rôle important dans l'évolution de nos sociétés. Néanmoins, nous allons voir qu'elle est parfois contrainte à des limites. En effet, toutes les dénonciations ou appels lancés à l'aide de l'écriture n'aboutissent pas forcément. Dans Bas les voiles! écrit en 2003, Chadhortt Djavann dénonce l'obligation de port du voile chez les jeunes filles musulmanes. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture