Le savoir apparaît aux humanistes comme quelque chose d'immense et d'infini. Il y a la connaissance empirique des choses, la connaissance scientifique (fondée sur l'expérience), et la connaissance occulte (la magie blanche (médecine) et la magie noire (alchimie).
L'intelligence doit avant tout chercher la vérité, or on la trouve surtout dans le discours mythologique. La mythologie est vue comme une histoire derrière laquelle il faut découvrir les vérités du monde. Pour les humanistes, la raison de l'homme est ce qui est dans son intelligence et donc ce qui le rend digne (...)
[...] Dans l'Antiquité, celui qui n'avait pas laissé d'œuvres était voué à l'oubli, l'anonymat était donc une seconde mort, laisser un nom était donc essentiel. A la Renaissance, les poètes vont aussi vouloir laisser leur empreinte dans l'Histoire. En effet, le grand poète mérite la gloire, et donc que son nom soit retenu D. François Ier François Ier, 1494-1547, est un roi militaire mais aussi le père des arts et des lettres. En effet, il va instaurer en France, une politique culturelle sans précédent. Il fonde le Collège Royal, en 1530, afin de diffuser les idées humanistes. [...]
[...] La philosophie La philosophie des humanistes impose un certain nombre de critères : L'exaltation de l'homme et de la beauté de son corps L'éloge de la connaissance mais avec sagesse et prudence puisque l'homme ne peut s'élever à la connaissance du divin La connaissance de soi : on redécouvre Socrate et son «Connais-toi toi- même» D. La langue Pendant la première moitié du XVIe siècle, la littérature latine est faiblement majoritaire car il y a une explosion de la littérature en langue vulgaire. [...]
[...] La poésie Avec le XIXe, le XVIe siècle fait partie des grands siècles poétiques en France. C'est un siècle où surabondent (Marot, La Pléiade dont Ronsard est le chef de file, Aubigné, Desportes ) A. Un renouveau sur la poésie En 1550, Ronsard publie les quatre premiers livres de ses Odes et il déclare être un poète à part, qui décide de suivre une autre voie, celle de la poésie antique, notamment la grande poésie grecque La Pléiade, fondée en 1549 sous le nom de Brigade, est considérée comme le zénith de la poésie du XVIe siècle. [...]
[...] L'humanisme Ce terme est inconnu au XVIe, il n'apparaît qu'au XIXe en Allemagne. Il introduit une nouvelle vision du monde, et le plus grand nom humaniste est sans conteste Erasme A. Le savoir Le savoir apparaît aux humanistes comme quelque chose d'immense et d'infini. Il y a la connaissance empirique des choses, la connaissance scientifique (fondée sur l'expérience), et la connaissance occulte (la magie blanche (médecine) et la magie noire (alchimie)) L'intelligence doit avant tout chercher la vérité, or on la trouve surtout dans le discours mythologique. [...]
[...] L'architecture est alors considérée comme L'art noble, car elle représente l'acte divin. Les grands poètes vont donc transformer leurs recueils en architectures afin qu'ils ne puissent pas craindre la mort. A la Renaissance, on redécouvre Platon car avec la chute de Constantinople, un grand nombre d'artistes vont s'installer en Europe, d'ont l'Italie. Come de Médicis, un des membres de la puissante famille Médicis de Florence, va faire traduire les plus grandes œuvres grecques en latin. Pour cette tâche, il va employer Marsile Ficin qui va traduire Platon. [...]
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