L'humanisme est la doctrine qui postule l'existence d'une nature humaine universelle et se donne comme objectif principal l'accomplissement de l'homme. Cf. L'homme est la mesure de toute chose
Universalité des savoirs.
Retour aux sources en ce qui concerne les textes religieux mais également retour aux textes antiques : Pour l'humaniste de la Renaissance, c'est le retour aux sources de la culture gréco-latine qu'il désigne du nom d' "humanités" qui permet à l'homme d'accéder à sa dignité.
S'opposant au modèle médiéval fondé sur la répétition et la mémoire, la pédagogie humaniste développe chez l'enfant ses tendances naturelles positives pour lui faire acquérir une culture qu'il devra perfectionner tout au long de sa vie (...)
[...] Malgré succès populaire le roman fut jugé très négativement par des auteurs tels que Byron. Il connut un nouveau succès à la fin du romantisme. Le roman gothique relève à la fois du roman noir et du roman fantastique dont il reprend les caractéristiques en les poussant à leur extrême. Le réalisme : Il a pour objectif de décrire la société dans sa dimension historique et sociale. La tendance au réalisme dans le roman européen s'est fait jour au moins depuis le début du 18ème siècle et s'accentue au 19ème siècle, alimentée par les ambitions de romanciers qui désirent donner à leur œuvre les dimensions d'une représentation totale de la réalité. [...]
[...] Pour eux, les règles visent essentiellement à donner sa dignité littéraire à un genre et à l'inscrire dans la vraisemblance. Elles ne sont pas censées garantir la beauté. Au 18ème siècle Les lumières : Née dans les salons intellectuels, elle s'appuie sur les découvertes scientifiques pour développer l'esprit critique et lutter contre toutes les formes de préjugés. Ce mot imagé désigne le mouvement philosophique et littéraire qui au 18ème siècle vise à éclairer l'homme en proposant une démarche intellectuelle fondée sur la raison et l'expérience scientifique : les philosophes des Lumières dénoncent ainsi tous les obscurantismes, tous les faux-savoirs et toutes les intolérances (en particulier au niveau de l'église et du pouvoir absolu). [...]
[...] De plus, la matière du monde s'impose et s'oppose à l'homme. Cette angoisse existentielle fond sur l'homme quand il ne se décide pas à agir mais se laisse porter par le cours des choses. L'engagement selon Sartre rejoint sur ce point l'idée de révolte chère à Camus. Il s'agit dans les deux cas d'œuvrer contre le néant et le sentiment d'absurdité qu'il suscite. Le nouveau roman : Refusant la tradition réaliste héritée du 19ème siècle, il veut transformer l'ordre du récit romanesque et remet en cause l'unité psychologique des personnages. [...]
[...] Elle est à la mode dans les salons aristocratiques du 17ème siècle, qui jugent grossières les manières communes. Elle affiche sa volonté de se distinguer jusque dans son langage qu'elle veut pur de toute trivialité, surprenant et expressif par ses métaphores et ses hyperboles. Elle apprécie la complexité des sentiments et la subtilité de leur analyse. Les salons de Mme de Rambouillet et de Mlle de Scudéry sont le centre de cette culture féministe et idéaliste. Jeux de société, jeux poétiques, art du portrait et analyse des cas amoureux y sont pratiqués. [...]
[...] Il répond à une vision centralisée du monde que favorise Richelieu et qui s'épanouit sous Louis XIV. Il privilégie la stabilité, la profondeur, l'universalité et se conforme au goût de l'honnête homme. Le classicisme vise la force de la permanence. Il veut montrer les réalités stables et universelles que cachent la confusion des apparences et la diversité des individus. Il a une conception idéaliste de l'œuvre d'art qui doit être une composition homogène de l'esprit, et non un asservissement à la réalité sensible bigarrée. [...]
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