La Bruyère a beaucoup observé les seigneurs du 17ème siècle. Il a été témoin de cette « comédie humaine ». Ces observations vont aider à l'écriture des Caractères publiés en 1688.
Publication des clefs révélant le nom des modèles des caractères. Louis XIV devient ainsi la risée du public. La Bruyère critique les idées sociales et politiques, les moeurs (...)
[...] III) L'invention d'une écriture, en adéquation avec une pensée - Le choix d'un regard étranger : Région, pays : termes assez vagues. Chez eux, ceux, ces peuples, les grands. - Mise en abyme du discours de la cour. - Relation particulière avec le lecteur : qui construit son interprétation. l'on parle Conclusion : Satire de la cour. Procédé de distanciation pour la censure. Différente façon d'éviter la censure : Les Fables pour La Fontaine et les Lettres Persanes pour Montesquieu. Style classique ou moderne ? [...]
[...] La Bruyère critique les idées sociales et politiques, les mœurs. De la cour : chapitre centrale. Fondée sur l'hypocrisie, monde clos où tout est visible. Bruyère = anthropologue. De l'observation anthropologique à une argumentation indirecte - Organisation significative : découverte progressive d'un lieu MAIS détournement : pays non nommé. But : donner une impression réaliste. Irons et Iroquois donne un aspect lointain. Il parle d'un ailleurs qui permet de parler d'ici. de la cour : moyen pour LB de poser un regard critique. [...]
[...] Verbes d'états : être, paraître, sembler. Un temple qui nomme Eglise : chapelle de Versailles. Créer l'illusion de découverte. Situation géographique étrange. Le texte formule un jugement. II) Une image critique de la cour satire - La vie mondaine : lieu de mensonge et d'excès : un monde dénaturé. - Les vieillards et les jeunes gens : les vieillards ont une bonne éducation et les jeunes gens représentent la débauche. Les femmes et les hommes : Les femmes sont trop coquettes et les hommes dissimulent. [...]
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