Au Moyen-âge, un héros était un demi-dieu, c'est-à-dire le fils d'un dieu et d'une mortelle ou d'une déesse et d'un mortel et c'est de ce statut que lui venait ses pouvoirs comme par exemple hercule et Achille. Depuis, il a évolué puisqu'aujourd'hui, on appelle héros une personne qui fait preuve de courage, de bravoure comme les pompiers qui ont risqué leurs vies lors des attentats du World Trade Center, il n'a donc plus ce caractère mythologique.
Nous essaierons de répondre à cette question : les lecteurs ont-ils plus d'intérêt pour un roman racontant la destinée d'un personnage de la vie de tous les jours ou hors du commun ? Après avoir montré que les personnages réels n'ont pas que des inconvénients, il s'agira de montrer les avantages des personnages invraisemblables (...)
[...] L'argent récolté, le projet prend forme et un immense canon, le Colombiad, voit le jour. Nous avons montré que, dans une œuvre, les héros extraordinaires contribuent à l'évasion du lecteur et qu'ils font rêver ce dernier en lui faisant visiter des lieux inconnus ou en lui faisant croire des choses. Nous avons démontré que les héros de la vie quotidienne étaient biens car nous nous retrouvons en eux et ils nous permettent, parfois, de trouver des solutions à nos problèmes, mais que les héros exceptionnels nous faisaient nous évader et rêver. [...]
[...] Nous essaierons de répondre à cette question : les lecteurs ont-ils plus d'intérêt pour un roman racontant la destinée d'un personnage de la vie de tous les jours ou hors du commun ? Après avoir montré que les personnages réels n'ont pas que des inconvénients, il s'agira de montrer les avantages des personnages invraisemblables. Dans cette première partie, nous essaierons de montrer pourquoi un lecteur aurait envie de lire une œuvre qui raconte le destin d'un personne tout ce qu'il y a de plus banale. [...]
[...] Dans cette seconde partie, nous essaierons de montrer l'intérêt que pourrait avoir un lecteur pour un roman racontant le destin d'une personne extraordinaire. Nous montrerons d'abord qu'ils nous permettent de nous évader puis que l'on crée, avec eux, un imaginaire idéalisé. Cependant, les héros exceptionnels font travailler notre imagination. Ils nous font sortir du quotidien, notamment en nous faisant découvrir des lieux inconnus comme par exemple dans Les voyages de Gulliver, de Jonathan Swift. Dans ce roman satirique, le héros se retrouve, après un naufrage, sur l'île de Lilliput, dont les habitants, les Lilliputiens, ne mesurent qu'environ quinze centimètres. [...]
[...] En l'occurrence, ici, ce sont des solutions aux problèmes de couple. Pour finir, le roman naturaliste fait plus facilement passer un message. Dans Roses à crédits d'Elsa Triolet, on voit que si l'on veut trop de choses, on finit par tout perdre. L'auteur a donc voulu montrer que parfois, il faut se contenter de ce que l'on a. Pour reprendre l'exemple de L'Assommoir, nous pouvons voir que, lorsque Gervaise n'est plus avec Lantier, elle vit une fulgurante ascension sociale. Or lorsqu'elle recroise son chemin, plus rien ne va. [...]
[...] Les membres de l'équipage y découvrent une société où des singes dominent des humains. Ils finiront par comprendre que les humains avaient été, autrefois, l'espèce dominante, tombés en décadence jusqu'à devenir esclaves des singes. Ces deux romans nous emmènent dans des endroits que jamais nous ne verrons. En outre, les héros invraisemblables nous font rêver. Dans ce domaine, Jules Verne est un maître. Le tour du monde en 80 jours ou encore De la Terre à la Lune nous font croire que, quand nous avons vraiment envie de quelque chose, il est possible d'y arriver, même si cela paraît irréalisable. [...]
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