Dernier poème du canzonière de Louise Labé, le sonnet XXIV apparaît à bien des égards comme la dernière pirouette désinvolte de la poétesse qui cultive l'ambiguïté. Reconnaîtrait-elle enfin ses torts, quant à sa relation adultérine ? Amour lui a fait perdre raison. Il n'est pourtant pas si sûr qu'elle se sente coupable...
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture