La Bruyère fait aussi appel à l'ironie : "malheur déplorable, mais ordinaire", "sont convenus entre eux de se dépouiller". De plus on remarque une construction hypothétique à la fin de l'extrait : "si, content du sien, on eut pu s'abstenir du bien de ses voisins, on avait pour toujours la paix et la liberté" car cette condition ne sera donc jamais remplie. Il y a une hyperbole, l'art militaire est qualifié de "belles règles". De plus, La Bruyère exprime son chagrin et sa révolte face à cette société de guerre avec l'emploi de phrases exclamatives (...)
[...] Andromaque est désolée de ne pas pouvoir convaincre Priam car elle utilise l'interjection oh synonyme de déception. Priam s'exprime sur un ton ferme mais affectueux caractérisé par des phrases courtes comme Je ne veux pas, ma petite chérie Priam utilise plusieurs fois le présentatif c'est comme le montre les phrases C'est parce que vos maris et vos père et vos aïeux furent des guerrier c'est d'oublier qu'on est mortel. Ces répétitions appuient la démonstration de sa questions Mais savez vous pourquoi vous êtes toutes si belles et si vaillantes ? [...]
[...] La Bruyère fait aussi appelle à l'ironie : malheur déplorable, mais ordinaire sont convenus entre eux de se dépouiller De plus on remarque une construction hypothétique à la fin de l'extrait : si, content du sien, on eut pu s'abstenir du bien de ses voisins, on avait pour toujours la paix et la liberté car cette condition ne sera donc jamais remplie. Il y a une hyperbole, l'art militaire est qualifié de belles règles De plus, La Bruyère exprime son chagrin et sa révolte face à cette société de guerre avec l'emploi de phrases exclamatives : Jeune Soyecour ! Mais ordinaire ! [...]
[...] Dans le texte Du souverain de la république La Bruyère utilise un raisonnement déductif. Il part d'un propos général La guerre a pour elle l'antiquité ce qui montre que la guerre dure, est éternelle à cause de faits historique, puis il développe ce propos tout au long du texte avec différents procédés littéraires. Il emploi aussi l'expression temporel tous les siècles La Bruyère utilise l'indéfini on ainsi que de nombreux pluriels et certains procédés de généralités comme les hommes ce qui montre que tous les peuples sont concernés par la guerre. [...]
[...] Dans ce texte on remarque une juxtaposition la guerre au contraire qui montre bien le fossé entre ces deux notions. La présence du champ lexical du désordre est opposé a celui de l'harmonie comme le montre les phrases La guerre est un fruit de la dépravation des hommes : c'est une maladie convulsive et violente la guerre dépeuple les états ; elle y fait régner le désordre Toutes ces phrases qui montre le désordre de la guerre sont opposés aux mots montrant l'ordre comme santé vigueur paix ordre et les phrases elle laisse aux lois la force qui leur est nécessaire elle favorise la population, l'agriculture et le commerce et elle procure aux peuples le bonheur Ce sont toutes des personnifications, ce qui permet donc au lecteur de s'en faire une idée plus nette. [...]
[...] Dans le dernier texte, la guerre de Troie n'auras pas lieu nous assistons à un dialogue, c'est une fiction de théâtre qui se réfère à la guerre de Troie. C'est une sorte de chronique d'une guerre annoncée qui aura lieu. Dans son discours argumentatif, Andromaque dénonce les conséquences sur les femmes de la guerre. Celle-ci privant les femmes et leurs filles de leurs pères. Mais Priam défend la nécessité de la guerre. Le discours direct est utilisé dans ce dialogue ce qui donne plus de vie à celui-ci et permet de faire intervenir d'autres personnages comme les souverains légendaires de Troie qui régissent comme le lecteur. [...]
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