Gnathon est un nom souvent donné au topos littéraire du parasite. Emprunté du dramaturge Térence, dans la pièce l'Eunuque, ce nom introduit un portrait en actes, particulièrement satirique. La Bruyère y dénonce la vanité de l'homme imbu de sa personne, vil et méprisant. Observons comment ce portrait satirique implique une portée argumentative (...)
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture