A partir du XIIIème siècle une farce était une petite pièce comique qui présentait une peinture satirique des moeurs et de la vie quotidienne. C'est un genre dramatique qui a pour but de faire rire et qui a souvent des caractéristiques absurdes et burlesques, c'est une forme populaire du comique (...)
[...] Donc Socrate est un chat Ces répliques montrent l'absurdité du raisonnement des personnages, en utilisant une logique non fondée et complètement absurde. Le style de langage utilisé comme gueule de bois vous puez l'alcool amène le lecteur ou le spectateur à rire de la familiarité du vocabulaire. III. Pour finir, les personnages de Rhinocéros, sont des personnages caractéristiques du comique. En effet, Jean est un personnage soigné, qui prend soin de son apparence, travailleur Jean est très soigneusement vêtu . il a des souliers jaunes, bien cirés Tout le monde travaille et moi aussi de la volonté, que diable ! [...]
[...] La première représentation de Rhinocéros a été donnée en Allemand. En 1960, la pièce a été jouée en France, mise en scène par Jean-Louis Barrault qui accentuait le caractère de farce. C'est en 1970 qu'Ionesco entre à l'académie française. Ce dramaturge décéda à Paris le 28 Mars 1994. Nous nous demanderons pourquoi, peut-on dire que la pièce Rhinocéros est une farce. Dans un premier lieu nous étudierons l'importance des indications scéniques, le comique des dialogues, et enfin les personnages caractéristiques de la farce. [...]
[...] à l'inverse de son ami Bérenger, fainéant, alcoolique, négligé B. n'est pas rasé, les cheveux mal peignés, il bâille Jai un peu la gueule de bois, c'est vrai ! Ce dernier, alcoolique, est un personnage beaucoup utilisé dans la comédie. En effet, Bérenger, un des personnages principaux, peut être considéré comme un anti-héros une sorte de candide alcoolique. Le monologue de Bérenger à la fin de la pièce apporte des éléments comiques comme l'inconstance de Bérenger : il veut être rhinocéros Oh ! [...]
[...] Le décor du deuxième acte nous rappelle étrangement celui du premier acte. On aperçoit des similarités avec le premier tableau, avec l'adjectif poussiéreux dossiers poussiéreux en effet Ionesco joue avec ce procédé de comique de répétition. Il y a toujours beaucoup d'information sur le décor et en particulier sur le décor fonctionnel : une autre table sur laquelle on met des feuilles de présence L'effet de la didascalie sur le lecteur emmène à visualiser une scène vivante, à perturber le lecteur en l'encrant dans le réel et l'hyper-réalisme. [...]
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