Fiche d'exposé sur le roman de Milan Kundera, L'insoutenable légèreté de l'être.
- Présentation de l'ouvrage
- Présentation de l'auteur
- Présentation de l'histoire
- Présentation du sujet du livre
- Présentation des personnages
- Critique du contenu
- Critique de l'art de l'écrivain
- Conclusion
[...] On ne sait même pas précisément à quoi ressemblent les protagonistes. Tout au long du roman on est assaillit de phrase ou de passage poétique et splendide. En voici quelques extraits : L'éternel retour est une idée mystérieuse et, avec elle, Nietzsche a mis bien des philosophes dans l'embarras : penser qu'un jour tout se répétera comme nous l'avons déjà vécu et que même cette répétition se répétera encore indéfiniment ! p. 13* - L'amour entre lui et Tereza était certainement beau, mais aussi fatiguant : il fallait toujours cacher quelque chose, dissimuler, feindre, réparer, lui remonter le moral, la consoler, lui prouver continuellement qu'il l'aimait, subir les reproches de sa jalousie, de sa souffrance, de ses rêves, se sentir coupable, se justifier, s'excusez. [...]
[...] Grand chirurgien il devra devenir laveur de vitre pour échapper à la police communiste à cause d'un article qu'il a publié dans un journal anti-communisme. Tomas représente la légèreté, le faite de n'avoir aucune attache, devenu tellement pesante qu'elle en devient insoutenable SABINA : Maîtresse de Tomas, elle est peintre et très indépendante. Sabina, tout comme Tomas à plusieurs amants dont Franz qui prendra une place importante dans sa vie. Contrairement à ce que l'on pourrait croire elle entretient une relation d'amitié avec Tereza. [...]
[...] Mais la tristesse d'un seul rêve de Tereza lui était intolérable p.328* Lui qui portait sur ses épaules le drame le plus sublime qui se puisse concevoir (il était à la fois le fils de Dieu et d'un ange déchu), fallait- il qu'il fût maintenant jugé non par pour des choses nobles (concernant Dieu et les anges) mais pour de la merde ? Le plus noble drame et le plus trivial incident sont-ils si vertigineusement proches ? Vertigineusement proches ? La proximité peut-elle donc donner le vertige ? p. 350* [le fils en question est le fils de Staline] Qu'est-il resté des agonisants du Cambodge ? Une grande photo de la star américaine tenant dans ses bras un enfant jaune. [...]
[...] 301*, les amours sont comme les empires : que disparaisse l'idée sur laquelle ils sont bâtis, ils périssent avec elle p.247* Pour qu'un amour soit inoubliable, il faut que les hasards s'y rejoignent dès le premier instant. -La condition sociale des protagonistes Il comprenait le bonheur des gens qui exercent le métier auquel ils n'ont pas été conduit par un Es muss sein ! intérieur et qu'ils peuvent oublier en quittant leur travail. p. 282* Dès le lendemain il écrivit une lettre de démission. Il supposait qu'une fois qu'il serait volontairement descendu au degré le plus as de l'échelle social, la police n'aurait plus prise sur lui et cesserait de s'intéresser à lui p. [...]
[...] Après l'invasion de la Tchécoslovaquie par l'armée soviétique, en 1968, il perdit son emploi et vit ses ouvrages interdits en raison de ses prises de position politiques. En 1975, il fut enfin autorisé à habiter en France. Il enseigna la littérature à l'université de Rennes, puis à l'École des hautes études en sciences sociales à Paris. Il obtint la nationalité française en 1981. Ses deux romans les plus importants sont l'Insoutenable Légèreté de l'être (1984) et l'Immortalité (1990). Présentation de l'histoire Ce roman nous plonge dans la vie d'un couple à Prague après la seconde guerre mondial. [...]
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