Littérature, incendies, Mouawad, Nawal, Jennaane, Sarwane, Abou Tarek, Simon, Wahab, frère, lettre
Nawal Marwan est morte. Elle donne une lettre à Jeanne pour son père (qu'ils pensaient mort), et une à Simon pour son frère (dont ils ignoraient l'existence).
Jeanne accepte de le chercher, Simon refuse. Elle demande à être enterrée sans cercueil, sans linceul, sans épitaphe car "elle n'a pas tenu ses promesses".
[...] Lieu : Canada + pays d'origine (référence au Liban). Remarques : 2 Représentation du passé et du présent dans une même scène, donc avec des acteurs différents jouant le même personnage à des âges différents. Parfois même, les personnages de deux situations spatio-temporelles parlent eux. Citations : « L'enfance est un couteau planté dans la gorge » (Incendie de Nawal Dernières volontés, p.14) « Les frères tirent sur leurs frères et les pères sur leurs pères » (Incendie de l'enfance Orphelinat de Kfar Rayat, p.60) « Comment peux-tu, regarde-moi, je pourrais être ta mère » (Incendie de Jannaane Amitiés, p.85) « Il y a des vérités qui ne peuvent être révélées qu'à la condition d'être découvertes » (Incendie de Sarwane Lettre aux jumeaux, p.132). [...]
[...] Il a combattu avec lui, puis il est parti chercher sa mère au nord, sans la trouver, et a perdu le sens de sa vie. Capturé par l'armée étrangère car il avait tué 7 des leurs, il devient gardien à la prison de Kfar Rayat. Il est devenu Abou Tarek, a torturé et violé la femme qui chante, sa mère Nawal. Lors de son procès, Nihad avoue le crime et parle de son nez de clown, trouvé avec lui lorsqu'il a été abandonné. [...]
[...] Incendies, Mouawad Incendie de Nawal Nawal Marwan est morte. Elle donne une lettre à Jeanne pour son père (qu'ils pensaient mort), et une à Simon pour son frère (dont ils ignoraient l'existence). Jeanne accepte de le chercher, Simon refuse. Elle demande à être enterrée sans cercueil, sans linceul, sans épitaphe car « elle n'a pas tenu ses promesses ». Jeanne va chez l'infirmier de sa mère, Antoine, qui lui donne des enregistrements de sa mère qu'il faisait. Elle n'a plus parlé depuis qu'elle a assisté à un procès concernant son pays d'origine, jusqu'à sa mort ans plus tard. [...]
[...] Les miliciens tuent tous les autres participants et lecteurs. Interceptés par un milicien, Sawda le tue pour se défendre. Plus tard, les miliciens entrent dans le camp de réfugiés où se trouvent Nawal et Sawda et tuent tout le monde. Sawda veut faire de même avec les miliciens. Idée de Nawal : elle va se faire passer pour l'enseignante des enfants du chef des milices, Chad, puis elle va le tuer de deux balles. Sawda se fait exploser dans un café de miliciens Nawal (15 ans) reçoit un cadeau de Wahab : un nez de clown, car il l'a beaucoup amusée lors d'une représentation théâtrale. [...]
[...] Elle rencontre Sawda, qui la suit et l'aide dans la recherche de son enfant et à qui elle apprend à lire, écrire, compter et parler. Arrivés dans un orphelinat, ils apprennent que les enfants ont été déplacés à Kfar Rayat. A Kfar Rayat, ils apprennent qu'ils ont été enlevés par les réfugiés voulant se venger des milices, et emmenés vers le sud. Nawal prend le bus, des miliciens l'interceptent et le mitraillent. Nawal évite de se faire tuer en disant qu'elle n'est pas réfugiée et cherche son fils. Incendie de Jannaane (21-30) Nawal (à 40 ans) et Sawda participent à un journal. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture