Commentaire sur un extrait du chapitre 8 Folio (p. 246-247) de L'oeuvre de Zola.
[...] Tout d'abord il compare la Seine à une fuite de miroir ce qui nous fait voir la clarté de l'eau. Il va comparer aussi les omnibus jaunes et des tapissières bariolées défilant avec la régularité mécanique de jouets d'enfant La Cité aussi va être comparée à un vaisseau, car elle partage la seine en deux étant au centre de celle-ci et ayant sa pointe fine, la Cité, cette proue de l'antique vaisseau montant du fleuve et qualifiée par l'adjectif dorée puis à la fin le Cité va être encore comparé à un vaisseau celui-ci étant séculaire mais cette fois-ci il plonge dans la clarté on fait ici opposition aux différentes métaphores pour un même sujet. [...]
[...] La description est très précise, les notations topographiques donnent la position géographique du narrateur. Il décrit tout ce qu'il voit devant lui, commençant par la Seine, décrivant son chemin : la Seine continuait au loin une fuite de miroir d'un raccourci aveuglant puis le Pont-Neuf une trouée s'ouvrait à gauche, jusqu'à l'île Saint-Louis Le long du Pont-Neuf, de grands omnibus jaunes défilaient avec une régularité mécanique Ensuite il va décrire ce qu'il voit au milieu, c'est-à-dire, l'île de la Cité qui tenait le centre de l'immense tableau . [...]
[...] Finalement il accentuera et fera ressortir l'architecture son paysage par des formes, des traits. Le Pont-Neuf, on voyait des vieilles arches une trouée s'ouvrait à gauche il nous explique comment il est fait architecturalement. Plus loin c'est le fond qui s'encadrait dans la perspective de deux rives l'arrière plan étant les deux rives, une encoignure de l'Hôtel de Ville le clocher carré de Saint-Gervais des «des files de maisons irrégulières n'étant pas toutes de même taille, mais pourtant l'auteur dit qu'elles sont très nettes, pouvant voir même les enseignes, les rideaux . [...]
[...] Plus haut, plus haut encore, par-dessous les tours jumelles de Notre-Dame, d'un ton vieil or, deux flèches s'élançaient, en arrière la flèche de la cathédrale, sur la gauche la flèche de la Sainte- Chapelle, d'une élégance si fine, qu'elles semblaient frémir à la brise, hautaine mâture du vaisseau séculaire, prolongeant dans la clarté, en plein ciel. Commentaire Pour cette description de la Seine, Zola adopte la focalisation externe, c'est à dire, rapportant seulement les apparences extérieures de l'histoire. Datant de la seconde moitié du XIV siècle, l'auteur nous décrit ici un paysage la ville de Paris, naturel et réaliste. Une journée comme les autres mais par ailleurs il va décrire dans un contexte biographique l'endroit où deux amoureux vont faire leur promenade. [...]
[...] Tout le fond s'encadrait là, dans les perspectives à deux rives : sur la rive droite, les maisons des quais à demi cachées par un bouquet de grands arbres, d'où émergeaient, à l'horizon, une encoignure de l'Hôtel de Ville et le clocher de Saint Gervais, perdus dans une confusion de faubourg ; sur la rive gauche Cette description de Zola montre un paysage banal, urbain de manière réaliste. Il décrit ce qu'il voit ne changeant rien à la structure du paysage. [...]
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