Commentaire composé entièrement rédigé du poème de Victor Hugo "J'aime l'araignée et j'aime l'ortie", tiré du recueil "Les contemplations". Celui-ci constituera un outil idéal dans le cadre de la réalisation d'un commentaire, ou pour les révisions du bac de français.
[...] et au vers 25 Pour peu qu'on leur jette un œil moins superbe, là encore le poète s'implique dans ses gestes, lui aussi les pratiques. Cela permet au lecteur de mieux se représenter ces actes, d'ainsi mieux adhérer à la cause du poète puisque celui-ci ne s'exclu pas, il ne se montre donc pas supérieur face aux autres hommes, mais différent. Le poète implique également le lecteur, il l'interpelle comme par exemple au vers 17 Passants, faites grâce à la plante obscure, ou encore au vers 19-20 >Plaignez la laideur, plaignez la piqûre, / Oh ! [...]
[...] Commentaire composé du poème de Victor Hugo j'aime l'araignée et j'aime l'ortie Victor Hugo écrivain du XIX siècle dédie son recueil Les Contemplation à sa fille décédée quelque temps auparavant. Dans ce poème J'aime l'araignée et j'aime l'ortie extrait de la section les luttes et les rêves, le poète écrit une poésie étrange montrant la beauté de l'araignée et de l'ortie. Dans un premier temps nous remarquerons la description inhabituelle que nous fait l'auteur de la nature montrée dans toute sa laideur. [...]
[...] Le lecteur remarque aussi cela grâce au champ lexical de l'obscurité. En effet on voit bien ici dans ce poème l'importance de l'ombre, du noir. Ce qui permet au lecteur de se représenter la nature dans tout ce qu'elle a de plus obscure, comme en témoigne des expressions telles que Noirs êtres rampants au vers et «elles sont l'ombre des abîmes au vers 13, ceci est également visible au vers 16 avec De la sombre nuit et au vers 27 loin du jour, Le lecteur voit donc bien ici que c'est la nuit qui domine, il se représente donc la nature dans tout ce qu'elle a de plus noir. [...]
[...] Ici Victor Hugo exprime le souhait de l'araignée et de l'ortie en personnifiant celles-ci qui peuvent ainsi sire leur désir. Elles ne l'expriment pas en parlant mais en murmurant, ce qui permet d'accentuer la compassion du lecteur pour ces êtres que décrit le poète comme rejetés. Ceci est également mis en valeur par le fait que ce désir soit exprimé en un seul mot suivi d'un point d'exclamation. Le poète pour bien faire ressentir ses affirmations s'implique dans celles-ci, comme au vers 1 et 2 J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, / Parce qu'on les hait ; On remarque ceci également au vers 23-24 pour peu qu'on oublie / De les écraser. [...]
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