Le singe est au fur et a mesure du récit de plus en plus effrayant
En effet on remarque une dégradation dans les actions du singe qui devient de plus en plus méchant et effrayant aux yeux du lecteur. On voit une dégradation des termes qui représente la terreur, il y aussi le champ lexical de la violence et de la méchanceté : "méchant", "atroce", "féroce", "horreur", "meurtre", "roi sombre", "égorgea", "dévasta", "carnage" (...)
[...] II- La portée dénonciatrice de la fable Un titre ambigu, qui laisse le lecteur faire un choix. En effet le titre fait explicitement référence à l'Histoire, c'est à dire les événements et les faits passés, ou présent. Il invite donc le lecteur s'interroger et interpréter la fable a sa guise, on le sait avec la conjonction de coordination ou Victor Hugo fait donc ici une allusion historique, à Napoléon III plus précisément. Celui ci est représente par le singe. Ce titre a aussi une portée morale puisque c'est une fable. [...]
[...] Cette fable se veut prophétique dans le sens ou elle annonce de la chute du Second Empire. Car cette apologue reste une fable qui a une leçon a donné a ses lecteurs. Le poète est donc bien selon Hugo, celui qui, par ses fables, peut faire l'histoire, ou encore la corriger. [...]
[...] Et Napoléon I est le tigre, un homme qui était réellement effrayant mais reconnu par tous. Le personnage de Napoléon III est donc ici démasqué puisque en remplaçant les animaux par les personnes correspondantes, on peut retrouver des faits historiques dissimules de ci delà, par exemple au vers Il avait endossé le droit d'être féroce. on peut en déduire que c'est lorsque Napoléon III, se fait proclamer empereur, le vers 3 lui : Le tigre avait été méchant, lui, fut atroce. [...]
[...] Victor Hugo : Fable ou Histoire Introduction : Victor Hugo est un célèbre auteur engagé du XIXème siècle. Il s'est engagé contre Napoléon III, et doit s'exilé en 1851 après le coup d'État de celui ci, qui se proclame Empereur. Durant son exil Victor Hugo va écrire une fable, inspiré des fables de La Fontaine, extrait du livre III de Les Châtiments : Fable ou Histoire Cette fable met en scène des animaux, et a une morale telle que les fables de La Fontaine. [...]
[...] Encore pire, les autres animaux aussi finissent par croire au personnage, ils ne démentent pas ni ne s'opposent à ces affirmation complètement erronés. On peut le prouver avec Les animaux l'admiraient, et fuyaient à grands pas On voit donc que tout le monde croit que le singe est un tigre, lui même a finit par le croire, ce qui suggère une folie collective, qui sans l'intervention de quelqu'un ne pourra jamais s'arrêter. c)Une fin brutale, ou tout s'arrête brusquement. La situation finale reste tout à fait inattendu, un belluaire personne sans grand intérêt, dénonce et met à nu, le singe qui est démasqué. [...]
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