Exposé de civilisation latine, niveau troisième année de Lettres modernes, sur la place et l'image de Rome dans le premier livre des Odes d'Horace.
[...] du verbe pour enchaîner ce monstre Mais comme le neutre monstrum peut difficilement être repris par le féminin quae, nous en ferons le sujet du verbe, en sous-entendant, chose courante en latin, eam devant quae : le monstre veut enchaîner celle qui - Ces images d'Empires barbares vont avec celle d'une Rome dévastée dès la deuxième ode, dans laquelle Horace évoque les présages : Le Père des dieux A fait sur nous tomber neige et grêle funeste Et, frappant les collines les deux cimes du Capitole) de sa dextre couleur de feu A fait craindre à la Ville Rome) et aux peuples du monde ( ) Nous avons vu le Tibre jaune III] Le leitmotiv du départ (Rome dédaignée comme Empire et comme modèle poétique) Horace et Auguste blabla : expliquer que Horace contre Auguste. Mini-topo, inclure un résumé de ton exposé là-dedans, avec une ou deux citations à l'appui. le motif du départ - Horace exprime souvent des idées de départ, que ce soit un départ de la ville pour la campagne, comme dans l'ode I où il fait l'éloge de sa demeure de Tibur : rien n'a : . [...]
[...] Il s'inspire, notamment dans ses Odes, de la poésie grecque de Sappho et Alcée, et remplace de lyrisme choral traditionnel romain par le lyrisme monodique, forme plus ancienne. D'ailleurs, le derniers vers de l'ode I marque bien cette influence : Sous le spectre lesbien, sous des cordes nouvelles ! [...]
[...] Rome dans le livre I des Odes d'Horace Les Odes d'Horace ont pour leur plus grande partie été écrites dans le calme du petit domaine de Sabine du poète. Retiré ainsi de la capitale, Horace n'a pu que mieux prendre du recul sur Rome, évaluer son attachement à la ville et la juger. Soustrait également pour un moment aux pressions sociales et à la censure, il en a profité pour mieux réfléchir sur le régime romain. C'est pourquoi les Odes expriment si bien le rapport d'Horace à Rome, entendue comme ville ou comme Empire. [...]
[...] (J'avoue j'ai complètement copié/collé l'espace horace.com. Mais bon. Au moins c'est complet) II] Géographie du livre I : Rome (l'Empire) et son contraire Rome : image de la civilisation - Rome est l'Empire civilisé par excellence. Horace ne décrira pas tant les caractères de cette civilisation que les autres Empires, eux-mêmes barbares, qui se pose en contraste avec le monde romain. L'ode I sur Cléopâtre, qualifie celle-ci de monstre barbare tandis que les Parthes sont qualifiés dans l'ode I d'animaux : Ayant dompté les Parthes qui menaçaient Rome L'accent est mis sur l'éloignement géographique de ces peuples : Les peuples lointains du Soleil Levant et sur leurs apprêts, qui s'opposent à la simplicité Augustéenne : voir l'ode I sur Cléopâtre, et I qui commence par Je déteste, garçon, les apprêts de la Perse - Pour Horace, rien ne vaut Rome. [...]
[...] et du même coup fait de Rome une image de l'Olympe. La Rome d'Horace Jean-Yves Maleuvre note que l'une des impressions qui se dégagent très vite dans la recherche des occurrences portant sur l'architecture et l'urbanisme de la capitale, c'est que la Rome d'Horace, même si elle se compose bien des quartiers, des monuments et des espaces de circulation que les archéologues ont reconstitués, n'est pas exactement celle que nous présentent les plans et les descriptions correspondant à l'époque augustéenne : il s'agit plus exactement d'une ville connue et vécue à travers des modes et des habitudes, des goûts, une personnalité : à ce titre, ses différentes parties apparaissent situées à l'intérieur d'une hiérarchie, où dominent certains quartiers, abondamment cités, alors que d'autres n'apparaissent jamais, et dans laquelle, parmi les sept collines de la tradition, les deux principales sont le Palatin et l'Esquilin. [...]
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