Correction d'un contrôle de lecture portant sur "Si c'est un homme" de Primo Lévi. Ce contrôle est composé de quatre questions qui ont pour but de cerner les grandes problématiques de cette oeuvre à travers des exemples.
[...] En 1976 Primo Lévi a dit à une question : celui qui opprime n'est pas un homme, celui qui est opprimé ne l'est plus. il ajoute que la perte de l'humanité est une spécité des camps nazis. Il dit qu'on ne peut pas mettre en parallèle entre le Goulag et les camps. Il nous montre qu'à Auschwitz il y avait une démolition systématique de l'homme ou l'on trouvait l'alliance du dépouillement matériel mais un dépouillement spirituel, affectif, moral et dépouillement intellectuel. [...]
[...] Dites quelles sont les raisons qui d'après vous et d'après ce qu'en dit l'auteur, on poussé Primo Lévi à écrire ce livre. En quoi peut-on dire que ce livre est premièrement une oeuvre autobiographique, deuxièmement un témoignage, troisièmement une réflection sur la condition humaine, quatrièmement une oeuvre littéraire. Citer deux ou trois passages qui vous ont particulièrement impressionnéet dites pourquoi. Page 82 : affront féroce de la part d'un prisonnier Page 36 : humiliation par les SS en inscrivant un chiffre sur l'avant bras gauche des prisonniers Page 108 : description de la vie dans le camp la nuit, vit quotidienne 1. [...]
[...] Approche cinématographique plan du Block à la place de l'Appel lieu important dans la mémoire des déportés car c'était là qu'ont les faisaient attendre le matin et le soir. Dans ces descriptions on a un présent atemporel. précision du témoignage dans le domaine sociologique en particulier dans l'étude de différentes catégories de prisonniers. Il nous indique qu'il y avait les droits communs qui porte sur leur vêtement un triangle vert. Les prisonniers politiques triangles rouges et au bas de la hiérarchiie, les juifs. La encore on remarque que son langage est non émotionnel. [...]
[...] Ça été un réflexe instinctif. Dès que je suis rentré à la maison, dans cette maison j'ai ressentit un intense besoin de raconter et d'écrire. Qui a été salutaire en me faisant sortir du cauchemar. confère rêve récurrent : fin de la guerre se rendre chez eux, ils racontent, personnes ne les croient. Propos très claire des allemands : sur ce sujet, premièrement personne ne sortira d'ici vivant et deuxièmement si il y aura des survivant, personne ne les croieraient. [...]
[...] Il souhaite que cette barbarie commise par des homme à l'égard d'autres hommes ne soit pas ignoré et jamais oublié. Ce poème explicite le titre de l'ouvrage car il évoque à la fois la souffrance physique et morale des déportés. Le titre : si c'était un homme nous invite à croire que l'auteur lui-même se demande à partir d'un certain stade si les prisonniers subissant, l'humiliation et la sauvagerie des SS, sont encore des hommes car les nazis présent dans les camps de concentrations ne se contente pas de maltraiter les juifs mais veulent avant tout les rabaisser, les déshumaniser. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture