Cours sur l'histoire de la littérature de la littérature du Moyen-Age à la littérature de nos jours. Ce dernier aborde notamment la chanson de geste, la littérature courtoise, l'humanisme, le romantisme, la littérature engagée...
[...] Au XVIIème siècle, les sensibilités sont très contrastées . comme le siècle où se côtoient la misère la plus noire et l'extrême richesse : La première moitié du siècle est caractérisé par le goût de l'excès de l'esthétique baroque, (excentricité dans la fantaisie comme dans le pathétique, de Corneille à D'aubigné). Le baroque a la passion du mouvement, de l'irrégularité (le portugais barroco désigne une perle irrégulière) ; il développe le sentiment d'instabilité de notre monde et donc une certaine inquiétude. [...]
[...] Quelques repères dans l'histoire de la littérature . Au moyen-âge, la littérature et la musique, très liées, sont le reflet de l'univers féodal : - La chanson de geste témoigne de la puissance du roi et de ses chevaliers, (cette puissance guerrière ou religieuse est très idéalisée, comme dans la "Chanson de Roland" : L'exagération est telle que ce genre illustre souvent le registre épique). - La société connaît d'importantes mutations au début du XIIème siècle, la littérature devient courtoise : L'univers chevaleresque idéalise la femme (C'est l'époque des troubadours). [...]
[...] ) - Au XXéme siècle les formes nouvelles, les langages nouveaux se multiplient, en peinture, en musique comme en littérature ; un si le nouveau théâtre ou théâtre de l'absurde prend de l'importance après la deuxième guerre mondiale autour de Beckett ou Ionesco : ces auteurs soulignent l'absurdité de l'existence, et parfois avec humour illustre un retour du "tragique" : il s'interroge (après Auschwitz Hiroshima) sur la "mort de l'homme". - Aujourd'hui la production littéraire de vient de plus en plus intense et sa diffusion se mondialise : les forme de la création sont de plus en plus singulières, mais paradoxalement aussi de plus en plus conventionnelles (pour obéir aux exigences commerciales . [...]
[...] - Le Réalisme dénonce les illustrations des romantiques trop centrés sur eux-mêmes et cherchent ainsi à exprimer davantage la réalité telle qu'elle est (Balzac, Stendhal ou Flaubert se dégagent ainsi de l'emprise romantique). L'exigence de vérité se fait de plus en plus forte avec le Naturalisme (Zola est très influencé par la pensée scientifique : il veux représenter la réalité sans l'idéaliser, en ayant préalablement observée, étudiée). - Lassé de réalisme, la fin de siècle amorce le retour en force de la sensibilité poétique. [...]
[...] Elle suscite bien des réactions: - Les découvertes encouragent l'esprit critique des philosophes : on les appelle les lumières car ils font sans cesse appel aux lumières de la raison pour combattre les préjugés : Montesquieu, Voltaire, Rousseau participent chacun à leur manière à ce combat qui est aussi celui de "L'Encyclopédie" dirigée par Diderot. La critique philosophique loue l'esprit de réforme et le goût du bonheur. - La prééminence de la raison accompagne l'essor des sciences, mais produit en réaction une soif d'évasion : on assiste à des formes extrêmes de réactions religieuses contre le matérialisme avec l'illuminisme, aux déviances du libertinage et à la naissance du fantastique. [...]
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