Etude narratologique du roman policier "Les rivières pourpres" de Jean-Christophe Grangé réalisée dans le cadre d'un cours de français niveau seconde. Cette étude permet d'analyser les différentes composantes d'un récit, à savoir, l'espace, le temps (temps externe et interne, durée), les personnages (fiche d'identité et fonction), et la structure narrative (programme narratif, mode du récit). Ces composantes sont appuyées par des extraits du livre.
[...] 28) : Niémans leva le regard vers les autres hommes présents dans la morgue. - Lieu fixe - Espace ouvert - Lieu réaliste CHRU (Centre hospitalier régional universitaire) (p. 32) : Les hommes se quittèrent sur le perron du CHRU, - Lieu fixe - Espace ouvert - Lieu réaliste Université (p. 32) : Pierre Niémans et Eric Joisneau se rendirent aussitôt à l'université, aux portes de la ville. - Lieu fixe - Espace ouvert - Lieu réaliste Bibliothèque de l'université (p. [...]
[...] On apprend également qu'il travaille dans un bureau pour la BRF (Brigade de la Répression des Fraudes). Nom : Karim Abdouf Identité : Karim Abdouf est un jeune maghrébin (p. âgé de 29 ans : Et voilà qu'à vingt-neuf ans, Il mesure un mètre quatre-vingt cinq et a une corpulence mince. Son visage est émacié et il porte un bouc, des rastas et une rangée de boucles d'oreille : un jeune Beur d'un mètre quatre-vingt-cinq, mince comme un cric, portant le bouc, des nattes de rasta et une filée de boucles d'oreilles Son physique lui donne l'allure d'un diable. [...]
[...] Les opposants : - Fanny Ferreira - Judith Hérault Le destinataire - Les skins - Karim Abdouf - La police et la justice - Judith Hérault IV. Les structures narratives Le programme narratif Dans Les Rivières Pourpres, on retrouve deux programmes narratifs qui sont présentés sous la forme de deux enquêtes réalisées par deux enquêteurs différents, à savoir Pierre Niémans et Karim Abdouf. A. Enquête de Pierre Niémans Détonateur du déséquilibre : le détonateur est le meurtre étrange d'un jeune homme, Rémy Caillois, dont le corps est retrouvé encastré à 15 mètres de haut en position d'un fœtus dans une falaise proche de l'université de Guernon (département de l'Isère). [...]
[...] Il commence par le match de football et finit par la mort de Judith Hérault. Comme il s'agit d'une enquête policière, on y trouve beaucoup d'analepses qui ont pour but de nous donner des informations sur la vie antérieure des différents protagonistes du roman ou qui nous décrivent des événements qui se sont déroulés par le passé. Ainsi, par exemple : de la page 63 à la page 74, l'auteur nous décrit le passé de Karim Abdouf. Nous obtenons alors des renseignements sur son enfance, son adolescence, son passé de délinquant, ses études à Paris et les raisons qui l'ont poussé à renter à la police. [...]
[...] Exemple. Page 11 et 12 : Le commissaire principal Pierre Niémans était l'un des responsables de ces manœuvres. L'énonciation Le narrateur de cette histoire est non présenté, il est extérieur à l'histoire. Exemple. Page 341 : Pierre Niémans baissa les yeux. Il aperçu les poignets puissants et ombrés de la femme.» Etude narratologique du roman policier "Les rivières pourpres" I. L'espace A. Schéma de l'enquête de Pierre Niémans B. Schéma de l'enquête de Karim Abdouf II. [...]
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