les fleurs du mal, Charles Baudelaire, spleen et l'idéal, albatros, bénédiction, ennemi
On observe une alternance entre le Spleen et l'Idéal.
Il est rejeté par sa mère qui ne l'aime pas et se plaint à Dieu de lui avoir donné ce monstre. Mais le poète grandi, protégé par un Ange
Il est détesté par tous ceux qu'il aime et par sa femme, qui veut s'en servir à sa guise avant de le jeter quand elle s'en lasse. Cependant, le poète est persuadé que Dieu lui garde une place près de lui et que la douleur est indispensable pour s'élever et s'anoblir.
[...] Les Fleurs du Mal, Charles Baudelaire Spleen et Idéal : I. Bénédiction : On observe une alternance entre le Spleen et l'Idéal. Il est rejeté par sa mère qui ne l'aime pas et se plaint à Dieu de lui avoir donné ce monstre. Mais le poète grandit, protégé par un Ange Il est détesté par tous ceux qu'il aime et par sa femme, qui veut s'en servir à sa guise avant de le jeter quand elle s'en lasse. Cependant, le poète est persuadé que Dieu lui garde une place près de lui et que la douleur est indispensable pour s'élever et s'anoblir. [...]
[...] Echec car il est exclu, il observe de loin victoire du Spleen. Le Vin : CIV. L'âme du Vin : Prosopopée du vin. Il n'est pas ingrat, il est heureux d'être bu par l'homme, sa femme et son fils, et d'être servi à table. CV. Le Vin des chiffonniers : Le chiffonnier, incarnation du peuple, mène une existence précaire et oublie son sort grâce au vin. CVI. Le Vin de l'assassin : Un homme a donné rendez-vous à sa femme la nuit et la tué, afin de pouvoir s'enivrer et faire ce qu'il veut (elle criait quand il revenait sans argent). [...]
[...] Le Vampire : Baudelaire est lié à sa femme-vampire pleine de vices. Il veut mourir mais se rend compte que même la mort ne le libèrera pas de l'emprise de la femme. XXXIII. Remords posthume : Baudelaire imagine la mort de son amante, qui sera prise de remords pour ce qu'elle lui a fait. XXXIV. Le chat : L'auteur imagine sa femme à travers un beau chat qu'il caresse, son regard froid et son parfum dangereux. XXXVI. Le balcon : Baudelaire se souvient des soirées passées et des moments agréables avec son amante au balcon. [...]
[...] Le voyage : Le voyage (la Mort) est un moyen de soulager le feu qui brûle le cerveau. Synthèse : La Mort est pour le poète le dernier espoir, l'ultime remède du Spleen et de la souffrance. C'est une consolation pour les amants, les pauvres, les artistes Synthèse générale : Dans la 1ère partie, le poète hésite entre sombrer dans le Spleen, le désespoir, la souffrance, ou croire en un Idéal. Il applique cela à plusieurs thèmes : amour, femmes, nature, fuite du temps, voyage Dans la 2ème partie, il s'intéresse à d'autres personnages, allégories de Paris, pour échapper au Spleen : voleurs, prostituées, vieilles, aveugles mais il échoue car il reste isolé. [...]
[...] Les chats : Les amoureux et les savants aiment les chats puissants et doux. LXIX. La musique : La musique enivre le poète autant que la mer. LXXII. Le mort joyeux : Le poète veut creuser lui-même sa tombe, et, au lieu d'implorer une larme, il voudrait que les corbeaux saignent sa carcasse. Il est joyeux de mourir et interpelle ses futurs compagnons, les vers. LXXIV. La cloche fêlée : La cloche est bien portante et peut toujours jeter son cris religieux, alors que l'âme du poète est fêlée et ne peut pas chanter. [...]
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