A table, l'organisation des convives révèle particulièrement cette différence des milieux. Le repas apparaît comme un rite social bien défini au château, tandis que la coutume paysanne est plus détendue. Tous les gens de la noce s'asseyent à la même table. Il n'y a pas de place particulière pour aucun des invités. Ils ne sont ni cités ni caractérisés, mais désignés comme appartenant à un même ensemble, une masse indistincte qui n'a pas d'étiquette (...)
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