Fiche français pour le bac Dialogue des morts de Fenelon

Thèmes abordés

Fiche français pour le bac Dialogue des morts de Fenelon Classicisme

Résumé du document

Fiche de lecture bien construite et clair pour pouvoir réussir au maximum son épreuve de français au bac. Réalisée à partir des cours d'une prof de français de lycée.
Je la conseille à tous ceux qui passe leur bac de français cette année !Bon courage !

Extraits

[...] Mise en parallèle de 2 situations. CONCLUSION → Le pouvoir comporte des dangers : démesure, le mépris de l'autre. → Certes le pouvoir peut venir des conquêtes militaires mais il vient surtout des arts et de son utilisation. →Le Prince doit s'appuyer sur les arts pour régner à l'image de Louis XIV→ incite son petit fils à le suivre ainsi. La conquête n'est pas forcément bénéfique pour le pouvoir. Ouverture : Tableau de Testellin : « Colbert présente à Louis XIV les membres de l'Académie Royale des Sciences ». [...]

[...] il écrit les Fables, les Aventures de Télémaque et Dialogue des morts. Dialogue des morts= dialogue entre perso qui a existé : Homère et perso imaginaire : Achille. Pb : Comment rendre une argumentation efficace ? I/D'où vient la gloire littéraire ? A/Le rôle des actions du héros Achille symbolise le pouvoir militaire. Achille se présente comme cause à la gloire littéraire d'Homère → égocentrisme. B/La variété des sujets Homère tiens aussi sa gloire d'Ulysse. Achille est caractérisé d' « impétueux » Variation au sein de la littérature → poésie lyrique, épique et pastorale. [...]

[...] Homère lui rappel que les morts deviennent des ombres. Il lui rappel aussi que son défaut est la colère. B/L'incapacité d'argumentation d'Achille Répliques d'Achille beaucoup plus courtes que celles d'Homère. Pas de logique dans les arguments d'Achille. Abandon de la raison au profit de la spontanéité. C/La vanité d'Achille Vanité est un défaut d'Achille repris par Homère. Aberration à éprouver de la colère dans les enfers → catharsis→ pas de trouble de l'âme →Achille si. Dans la mort, l'homme n'a aucun pouvoir tant que le poète n'a rien fait pour lui. [...]