Au mois d'avril 1813, le jour où la ville de Paris est propre, un homme sortit de son cabriolet pour embrasser une jeune fille d'une sublime beauté. Mais « un amant n'aurait pas eu tant de soin », donc « l'inconnu devait être le père ». Ils s'en allèrent et il lui dit « l'on te croit ma femme ». Longue description physique de la jeune femme que tous les hommes dévorent du regard. Le surlendemain Napoléon partait en campagne pour perdre plusieurs batailles et en gagner d'autres. Tout le monde se dirigeait alors vers le palais des Tuileries. La jeune femme était pressée et son père l'admirait avec amour. Ils arrivèrent trop tard et ils ne purent rentrer. La jeune femme fut triste et pleura même. Puis elle aperçu un homme et l'appela. Il les fit passer. L'officier installa Julie et son père à la première borne. Julie et l'officier avaient une certaine complicité. Le Carrousel et le défilé faisaient s'exclamer la foule.
[...] Le lendemain, elle paru gaie. Elle s'était déjà demandé pourquoi résister à un amant aimé quand elle se donnait, contre son cœur et contre le vœu de la nature, à un mari qu'elle n'aimait plus. (p.84). Elle reçu sur les ordres de son mari Arthur (Lord Grenville) de façon distante. Lors d'une douce soirée du mois d'août 1812, deux individus gravirent les chemins qui mènent au château de Montcontour. C'était Julie et Lord Grenville (p.85), mais cette Julie semblait être une nouvelle femme Elle souriait beaucoup, paraissait en bonne santé. [...]
[...] Quelque temps plus tard, elle partit du château, et lorsqu'elle aperçut le curé qui la saluait, elle répondit en baissant la tête, honteuse. Partie 3 : A Trente Ans. On nous parle alors d'un homme, M. Charles de Vandenesse qui était à une fête chez Mme Firmiani. On nous avoue que les femmes ne produisaient plus aucun effet sur lui (p. 125) et qui était froid et calculateur Il devait quitter Paris pour l'Italie où il serait arraché à un ministre plénipotentiaire. Cet homme a aussi un dégoût pour la société française et ses mœurs. [...]
[...] Elle lui accorda sa confiance en lui disant qu'elle la comprenait et que Victor ne la méritait pas. Julie la pria de devenir sa mère, et elles lièrent un fort lien. Le lendemain, Arthur se balada encore sous les fenêtres. Elles décidèrent de manger dans une autre salle. Mais le valet de Victor arriva soudain pour dire à Julie de le rejoindre à Paris. Ce qu'elle fit. Sa tante lui promit de les rejoindre dès qu'elle pourrait. Sur le chemin, Julie remarqua qu'Arthur la suivait. Elle eut peur. [...]
[...] Julie devinait que le curé de l'histoire était celui devant elle. Elle fut bouleversée par ce récit. Il lui demanda si il pourrait revenir, elle accepta. Il voulait la convertir, elle voulait un confident. Il lui dit qu'il fallait obéir aux lois de la société, elle réfuta en avouant que ses malheurs venaient de son mariage. Puis elle lui avoua que ses responsabilités maternelles n'étaient pas entières. Elle dit au curé : Un enfant, monsieur, n'est-il pas l'image de deux êtres, le fruit de deux sentiments librement confondus ? [...]
[...] Ses larmes amères jetées au hasard et dans la solitude. (p.75). Lors d'une soirée de Janvier 1820, un drame se passa. Quand un couple se connaît bien chacun peut deviner ce qui se passe dans la tête de l'autre (p.75 réflexion sur le couple). Julie comprit alors que son mari ne lui appartenait plus. Elle ne devint alors qu'une mère : Julie voulait vivre pour préserver son enfant du joug effroyable sous lequel une marâtre pouvait étouffer la vie de cette chère créature. (p.76). [...]
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