Genre et type de texte : Texte qui se compose d'une théorie inductive où l'argumentation est touchante.
Problématique : Comment l'auteur dénonce t-il qu'un homme de pouvoir ne respecte pas toujours l'éthique et la morale de sa profession ?
Thème/ thèse : Les problèmes éthiques de la science. Thèse : "Quand on s'écarte du chemin de sa vie, on triche" (l. 27) (...)
[...] L'auteur s'implique en s'adressant aux lecteurs par les pronoms personnels récurrents « vous » ; l. par la généralisation du pron. pers. Indéfini « on » ; l. 31). Le dernier pronom « nous » (l. 30) incline l'auteur. Il s'engage avec l'emploi de termes forts catégoriques : « acteurs du génocide » (l. « tortionnaires » (l. « un valet de bourreau » (l. « charlatan » (l. « censeur » (l. « faussaire » (l. « courtisan » (l. [...]
[...] le cas d'un « homme politique » (l. 25-26) qui s'attache plus à sa « carrière qu'à l'interêt des citoyens par lesquels et pour lesquels » (l. 24-25) il a « été élu » (l. 25). Les exemples gagnent en actualité pour se rapprocher du vécu de l'auteur. Les lecteurs se sentent de plus en plus concernés. II/L'engagement d'un homme d'action Le fort engagement de l'auteur est lié à des valeurs morales : « la morale » (l. la « conduite » (l. [...]
[...] L'auteur utilise parfois le neologisme*. Procédés *« voyoucratie » (l. 30) d'écriture remarquabl es But de Le but de ce texte est de convaincre le lecteur que « quand on s'écarte du l'argument chemin de sa vie, on triche » (l. montrer la corruption des hommes de ation / pouvoir, à ts les niveaux et à différentes professions. L'auteur cherche à intentions nous convaincre qu'il faut respecter la morale de sa profession et nous de persuade de rester dans le droit chemin. [...]
[...] Puis l'auteur enchaîne avec l'examen de différentes professions pour lesquelles les acteurs ont agi de manière immorale : il examine le cas de « l'inquisition » (l. 11) où les « évêques soumettaient àla question des hérétiques » (l. 11-12), le cas d'un « praticien » (l. 14) qui « assiste dans une prison aux sévices infligés à un détenu ou à une exécution capitale » (l. 14-15), le cas d'un « soignant » (l. 17) qui traite « des malades avec des produits qui n'ont fait aucune preuve de leur action thérapeutique » (l. [...]
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