Étude réalisée au cours de l'apprentissage d'une oeuvre complète pour le bac de français. Elle détaille le contenu de la scène 2 de l'acte I de « La Double Inconstance » de Marivaux sous forme de notes claires. Un document idéal dans le cadre des révisions.
[...] Le syllogisme qu'elle utilise pour convaincre le Prince est : Silvia est une femme Or une femme est coquette Donc Silvia est coquette Flaminia est le double de l'auteur. Conclusion : Nous avons plusieurs plans qui nous sont proposés et sont refusés les uns après les autres sauf celui de Flaminia. Le plan de Flaminia est le plus compliqué mais c'est celui qui a le plus de chance d'aboutir en respectant la loi et les individus : c'est une utopie expérimentale : Peut-on détruire un sentiment ? Qu'est-ce que l'amour ? [...]
[...] Il délègue son autorité à Flaminia. C'est un Prince qui est respectueux des lois. Il est donc moral. Il ne veut pas de violence. Trivelin : Il est un peu naïf, superstitieux, obéissant et simple. Ce n'est qu'un instrument. Il est prêt à utiliser la force. Il est assez misogyne : il n'est pas prêt à laisser la liberté aux femmes. Il ne laisse pas Silvia décider. Il est très opposé au Prince : plus brutal. Il est prétentieux, ce qui rend son rôle ironique. [...]
[...] Marivaux, La Double Inconstance Texte I : Acte Scène 2 Le prodige de l'amour Nous savons que Silvia, la maîtresse d'Arlequin, a été enlevé par le Prince parce qu'il veut l'épouser. Silvia refuse énergiquement car elle aime Arlequin et elle souhaite le retrouver. LA scène 2 met en présence les trois auteurs de ce complot. Elle expose la personnalité des personnages qu'on ne connaît pas encore. On entre dans la complicité en tant que spectateur. Ces trois personnages ont le même but mais ne sont pas d'accord sur la manière. [...]
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