L'étymologie d'épigramme est le mot « épigramma » en grec ancien qui signifie
« une inscription ». Au début en prose, puis en vers, ces inscriptions étaient utilisées sur les statues, les tombeaux dans le but de perpétuer le souvenir.
Au IV ème siècle avant Jésus Christ, cela devient de la poésie n'ayant aucun sujet de prédilection, cela permettait aux auteurs d'exprimer une pensée avec grâce.
Au XVI ème siècle, cela devient un court poème se terminant par un trait malicieux, une pointe piquante.
L'auteur le plus ancien serait Simonide de Céos(fin du IV ème siècle avant J-C).
[...] - Latine : fort similaire au style grec, utilisée pour exprimer leurs sentiments. Mais beaucoup plus satirique, grossière, obscène et cynique. - Byzantine : les byzantins ont rassemblé les épigrammes pour écrire des anthologies - Moderne : chez les modernes, l'épigramme n'a plus la même signification que chez les grecs. Elle devient exclusivement de la petite poésie satirique. Elle sert d'arme pour les littéraires. - Au XIX ème siècle : elle est utilisée surtout dans un contexte violent, flatteur ou d'une grossièreté malicieuse. [...]
[...] Au XVI ème siècle, cela devient un court poème se terminant par un trait malicieux, une pointe piquante. L'auteur le plus ancien serait Simonide de Céos(fin du IV ème siècle avant J-C). La plupart des épigrammes écrites en grec ancien sont parvenues jusqu'à nous par l'« Anthologie Grecque cet ouvrage rassemble des auteurs d'époques différentes depuis l'antiquité jusqu'à l'époque byzantine ( XV ème siècle). Les sortes d'épigrammes : - Grecque : l'auteur condensait ses pensées en une courte phrase. Parfois érotiques ou élogieuses ou encore funéraires avec une réflexion. [...]
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