Eluard fait dans ce poème l'éloge d'une partie du corps de la femme (un blazon) , ici les yeux qu'il rapproche à l'idée de nature.
Il transforme donc la femme en une entité exceptionnelle en lui attribuant certains pouvoirs (amène à l'idée de recréation du monde) (...)
[...] Eluard appartient à ce courant. Faire accéder le lecteur à une part irréelle 1er textes : Rêves, merveilleux puis engagement politique en période de résistance. (Avec Aragon, Desnos) Il écrit d'abord pour célébrer une femme. (Gala, qui lui inspira quelques poèmes puis Nusch dans les années 30) Problématique : Comment le poète transforme t-il la femme en une entité exceptionnelle et indispensable. Introduction : Paul Eluard, poème extrait de Capitale de la douleur appartient au mouvement surréaliste qui affirme entre autre le pouvoir de l'image. [...]
[...] berceau la couvée éclos la paille (en référence au Christ sur la paille) Vers 4 et commencer à vivre quand il a connu cette femme. (ouverture au monde) Un monde de sensualité, un monde où tout les sens prennent tout leur sens. La vue, L'odorat Parfums, parfums Toucher La mousse Donc il a tout de même conscience du monde qui l'entoure. Un monde pur, purifié. Les yeux offrent de la pureté, de l'innocence. La paille : Lit de jésus, connotation religieuse. Début du ver : Auréole > Saint. Fin du ver : Ailes > Anges. Lumière > Dieu (Dimension de divinité) Pure. [...]
[...] Chasseur des bruits > Oeil sert à guetter, à être à l'affut. Ses yeux sont donc à eux seuls, un MONDE. Le regard à un refuge Par la Protection Berceau fait le tour vers I. Par la Circularité Protection, Enveloppement. Vers 8 Ailes couvrant le monde Vers Une couvée Un certain nombre d'autres qualités variées La vivacité, vers 7 Roseaux du vent chasseurs des bruits L'éclat feuille du jour, monde de lumière, source de couleurs. La profondeur le ciel et la mer renvoie à des infinie. [...]
[...] Si il n y a plus de regard, il n'y a plus de vie. Double sens : Coeur > sentiment, affection yeux > organe, aussi reflète l'ame. C'est donc une complémentarité essentielle. Ça ne peut pas exister sans lui et inversement. Les yeux; mon coeur Tes yeux purs; mon sang Conclusion : Eluard fait dans ce poème l'éloge d'une partie du corps de la femme (un blazon) , ici les yeux qu'il rapproche à l'idée de nature. Il transforme donc la femme en une entité exceptionnelle en lui attribuant certains pouvoirs (amène à l'idée de recréation du monde). [...]
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