André Malraux, "La Condition humaine" : fiche de lecture

Résumé du document

Première partie : 21 mars 1927

Il est minuit et demi :
Tchen. Il tient dans sa main droite un rasoir et dans sa main gauche un court poignard (10). Tchen enfonce son poignard dans son bras gauche (10). Il poignarda un homme et fut certain de sa mort (12). La ville est Shanghaï (13). Insurrection imminente de Shanghaï (14). Il récupère un document dans le porte feuille de l'homme mort (15). Tchen parle pékinois, description de Tchen (15) (...)

Extraits

[...] Katow discute avec les chefs de brigade de l'insurrection (39). Kyo et Katow se rejoigne et partage ce qu'ils ont fait (41). Tous deux entre dans un magasin de poissons vivants et apprennent où se trouve l'armée, à Tcheng-Tchéou (42). Ils repartent en taxis où le chauffeur est nghien (en manque d'opium) (42). Katow a des costumes de flics et tous deux ont des camarades au magasin (42). Gisors, père de Kyo (44). Kyo fut formé à l'Université de Pékin (44). [...]

[...] Septième partie : Paris, juillet (315) Ferral se trouve au ministère des finances (315). Il défend le Consortium et demande des fonds (317). D'après certains français, la chute de Chang- Kaï-Shek est imminente (320). Borgia, pape (321). Monsieur Damiral (327). Kobé (329) : Gisors a quitté Shanghaï pour habiter chez Kama (329). May lit une lettre de Peï qui lui a été remise à l'arrivée du bateau (329). Peï va répartir en Chine comme agitateur de même pour May (331). Gisors est professeur libre d'histoire de l'art occidental (332). [...]

[...] Tous deux doivent quitter Shanghaï sous 24h sinon la police tentera de les tuer (193). Kyo ne compte pas s'enfuir (193). Tous deux se reverront le soir même au Black Cat (194). Depuis son retour de Han-Kéou, Kyo organise des groupes de combat contre Chang (196). Kyo reçoit un courrier de Han-Kéou (198). Ordre d'enterrer les armes (198). Kyo doit se rendre au Comité central (198). May empêche Kyo de sortir en restant devant la porte (201). Finalement, il arrive à sortir et rencontre Katow pas très loin (203). [...]

[...] Un jeune colonel Chinois demande du soutien à la police Française (109). König, chef de votre police (109). Les ponts sont pris (109). Brève comparaison entre l'Empire Romain et le Han-Kéou (109-110). Les casernes sont bloqués (110). Liou-Ti-Yu, chef de l'association des banquiers Shanghaïens, président honoraire à la Chambre de Commerce Chinoise (111). Dans les campagnes, les communistes organisent l'Union paysannes. Le premier décret sera la dépossession des usuriers (112). Les bleus : Kuomintang (113). L'arsenal est bloqué (113). Le gouvernement rouge de Han-Kéou (113). [...]

[...] Il récupère une courtisane chinoise et va chez lui avec (231). On suppose que Ferral a couché avec la chinoise (233) heures et demie (233) : Tchen attend la voiture de Chang pour commettre son attentat seul (233). L'auto de Chang se fait entendre au loin et Tchen se tient prêt (234). Tchen se jette dessus, il se rend compte quelques secondes après à son réveil qu'il n'a plus de jambes (235). Il saisit un revolver dans sa chemise, se le met dans la bouche et le coup de pied du policier précipite sa mort (236). [...]