Simone de Beauvoir, ""Mémoires d'une jeune fille rangé"

Résumé du document

Commentaire composé d'un extrait des Mémoires d'une jeune fille rangée. L'auteur évoque l'affrontement moral entre d'un côté le conformisme incarné par son père et par son milieux social et d'autre part sa propre réflexion presque incompatible avec l'idéal destin d'une jeune fille bourgeoise plié aux volontés de son père. Comment Simone de Beauvoir nous montre-t-elle son mal-être ?

Extraits

[...] pour nous aidé à comprendre Simone de Beauvoir nous donne un exemple celui de sa cousine dont l'innocence est totale, ironie dans le mot idéal. Cette ironie est renforcé par ce qui suit. L'auteur parle avec une ironie. On sent chez elle une sorte de rencune accumulé. Elle nous dit que pour son père l'innoncence poussé jusqu'à la bêtise était un idéal pour une jeune fille. Petit à petit, l'auteur veut nous faire rssentir la pression que fait peser le milieu bourgeois de ce début de siècle sur les jeunes filles : Il n'y a pas de juste milieu, entre l'innoncence qui confine à la sottise et et la débauche. [...]

[...] Premièrement : l'évocation d'un certain milieu - Simone de Beauvoir est né à paris au début du siècle dans un milieu bourgeois, à cette époque, ce milieu avait des idées très arrêté sur l'éducation des jeunes filles. On exigeait d'elle avant tout douceur, innocence et qualité mondaine. Une instruction poussé est à priori déplacé. - C'est sur ce principe de base que s'articule l'évocation que fait l'auteur ici. On le note dès la deuxième ligne. il avait le culte de la jeune fille, la vraie expression ironique lourde de sens. [...]

[...] Préambule : On voit tout de suite que le texte est centré autour de deux pronoms personnels je et il Ce qui nous frappe tout de suite, c'est l'accent que met l'auteur sur sa différence exceptionnel, insolite, rien de commun, phénomène . acdent sur sa différence et sur ce qu'entraîne cette différence son malaise piètre figure, je souriais mal, je ne savais pas, je me sentais mal à l'aise Autour de se malaise on trouve l'homni-présence du père. Tout le texte est battie sur une idée force. Simone de Beauvoir insiste ici sur l'inconfort qui fut le siens parcequ'elle n'était pas conforme aux normes qui régissaient le milieu où elle vivait. Il y a donc bien un jugement porté par l'auteur. [...]

[...] C'est donc une fonction de l'autobiographie que l'on peut mettre en valeur, porté un jugement sur son passé régler des comptes et pas seulement rendre des comptes comme le fait Rousseau. Ici Simone de Beauvoir nous livre, nous explique le malaise dont elle a souffert pendant son adolescence. Deuxième axe : la différence de l'auteur - dès la première phrase du texte, nous notons un parallèle entre deux éléments d'énonciation, le jeu de l'auteur narrateur, personnage et le il, la troisième personne du singulier, présent tout au long du passage, le père. [...]

[...] - Enfaite la position de Simone de Beauvoir est la suivante : ses centres d'intérêts vis-à-vis d'elle-même en font une sorte de paria dans son milieu : elle n'est pas reconnu par ses semblables, elle est critiqué par ses parents tout en subissant la contrainte de l'amour propre paternel. L'auteur nous définit sa position par rapport à ses semblables par une formule humoristique très claire : elle nous dit ligne elle travaillait amateur alors que . l'opposition entre les deux termes est significative. [...]