Commentaire composé de l'excipit de Candide de Voltaire. Il s'agit de la fin de l'odyssée de Candide pour retrouver sa dulcinée Cunégonde. Candide s'est arrêté en Bulgarie, à traversé l'Amérique du Sud et est revenu en Europe. Fatigué au terme de son voyage des misères humaines, il finit par s'installer en Turquie où il retrouve ses compagnons d'infortune : Cunégonde, la vieille, Papette, le père Girofle, Cacambo, Martin et Pangloss. Dans ce chapitre, Candide fait deux dernières rencontres pour achever sa formation : un derviche et un vieillard. A travers eux, il comprend définitivement que la réalité diffère du rêve et que le monde n'est pas à l'abri du mal. Candide se choisit donc une morale simple et sage qui repose sur le travail. Comment ce dernier chapitre intitulé « conclusion » est-il un conte qui rejoint définitivement l'apologue ?
[...] Et Candide croyait Pangloss. L'épilogue nous présente une philosophie allant à l'encontre de celle-ci. On assiste ainsi à un certain dénigrement de Pangloss qui croit, malgré toutes leurs mésaventures à la même chose. Tout au long de ce chapitre, Pangloss est intarissable. Il prend énormément la parole et ceci est notamment visible à travers ses longs discours directs. A la fin cependant, il est vaincu et fait une concession. Il dit en effet à Candide Vous avez raison et il cite même la Bible. [...]
[...] Il s'agit de la fin de l'odyssée de Candide pour retrouver sa dulcinée Cunégonde. Candide s'est arrêté en Bulgarie, à traversé l'Amérique du Sud et est revenu en Europe. Fatigué au terme de son voyage des misères humaines, il finit par s'installer en Turquie où il retrouve ses compagnons d'infortune : Cunégonde, la vieille, Papette, le père Girofle, Cacambo, Martin et Pangloss. Dans ce chapitre, Candide fait deux dernières rencontres pour achever sa formation : un derviche et un vieillard. [...]
[...] On ressent par ailleurs un certain scandale face à la soit disante indifférence de Dieu. Moralité : Ainsi, la moralité à tirer à la question que faire est de se taire C'est la façon du derviche à nous faire comprendre que nous sommes peu de chose et que nous ne savons rien. Il est en effet inutile de se poser des questions auxquelles l'homme n'a pas la réponse. L'homme n'est donc rien et le philosophe est celui qui reconnaît son néant et son ignorance : il ne faut pas faire de métaphysique. [...]
[...] Il faut au contraire, se retirer du monde et vivre de son travail. Ainsi, à la question Que faire ? l'explication est claire : il faut travailler Le travail, en effet, éloigne de l'ennui du vice et du besoin. Comme le derviche, le vieillard reconnaît qu'il ne sait rien. Toutefois la conclusion des deux personnages n'est pas semblable. En effet, alors que le derviche par le silence en se taisant, le vieillard, lui conclut qu'il faut travailler pour combler l'absence d'autres certitudes. [...]
[...] La leçon du derviche : Interrogation sur la création de l'homme et du mal : Les trois compagnons vont à la rencontre du derviche. Nous noterons que c'est une confrontation qui a été choisie par les trois protagonistes. Ils cherchent effet à s'éclairer sur certaines affaires. Ils posent ainsi deux questions au derviche. Ils se demandent tout d'abord pourquoi l'homme a-t-il été crée : Maître, nous venons vous prier de nous dire pourquoi un aussi étrange animal que l'homme a été formé ? Puis, il s'interroge sur la raison du mal. [...]
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