Nous découvrons les événements du récit par le regard du narrateur qui se place en observateur extérieur. Il analyse le comportement de Santiago et dévoile les sentiments du jeune garçon, ce qu'il ressent tout au long de son voyage.
Il s'agit donc d'une vision "par derrière". Le narrateur connaît son personnage et ce qu'il ressent dans chaque situation (...)
[...] Il est sur la bonne voie car il cherche des réponses à ses questions en expérimentant les choses à l'inverse de l'Anglais qui cherche à transformer les métaux en or. Pas besoin donc de fours mais c'est dans la réflexion qu'il trouve la solution. C'est pourquoi, on trouve de nombreux livres dans la tente. Les dessins mystérieux sur les tapis représentent le langage des signes. C. Argumentation 1. Critique de la couverture La couverture représente les Pyramides d'Egypte, le but à atteindre à la suite d'un long voyage. C'est l'endroit où Santiago découvrira le trésor. [...]
[...] Finalement, c'est un livre que je conseillerais à chacun. Oral Roman choisi : Coelho, L'alchimiste Poème : L'aurore s'allume, Victor Hugo (Les Chants du Crépuscule, 1835) Musique d'accompagnement : Jonathan Livingston, Le Goéland L'Aurore s'allume L'aurore s'allume, L'ombre épaisse fuit; Le rêve et la brume Vont où va la nuit; Paupières et roses S'ouvrent demi-closes; Du réveil des choses On entend le bruit. Tout chante et murmure, Tout parle à la fois, Fumée et verdure, Les nids et les toits; Le vent parle aux chênes, L'eau parle aux fontaines; Toutes les haleines Deviennent des voix. [...]
[...] Cette chose nous paraît normale. Mais il comprenait maintenant une chose importante : que les décisions représentaient seulement le commencement de quelque chose. (p.88) Prendre une décision c'est avoir un but mais découvrir les moyens pour y arriver représente le plus gros du travail. Personne ne doit avoir peur de l'inconnu, parce que tout homme est capable de conquérir ce qu'il veut et ce qui lui est nécessaire. (p.97) Il faut croire en nos capacités. On sait mieux soi-même ce dont on a besoin. [...]
[...] Il regarda autour de lui, cherchant ses moutons, et se rendit compte qu'il était maintenant dans un autre monde. Au lieu d'éprouver de la tristesse, il se sentit heureux. (p.58) Le narrateur dévoile le sentiment de bonheur et exprime les pensées personnelles de Santiago. Il partit sans faire ses adieux au Marchand de Cristaux. Il ne voulait pas pleurer : on aurait pu le voir. Mais il allait regretter toute cette période, et toutes les bonnes choses qu'ils avaient apprises. Il avait davantage confiance en lui, et se sentait l'envie de conquérir le monde. [...]
[...] L'Alchimiste est un merveilleux conte philosophique, rempli de poésie et de spiritualité. Un livre d'une rare beauté tant dans l'écriture que dans l'histoire elle-même, qui nous transporte à travers les dunes du grand désert. Le voyage initiatique de Santiago est notre propre voyage. L'Alchimiste nous montre qu'il ne faut pas oublier nos rêves et aller au-delà de nos craintes car nous aurons toujours des signes pour nous guider. Comme Santiago, nous avons, nous aussi notre propre Légende Personnelle. A nous de la trouver ! [...]
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