Charles Perrault est né à Paris en 1628. C'était un écrivain français. Adversaire de Boileau dans la « querelle des anciens et des modernes », il défendit le point de vue des modernes (le siècle de Louis le Grand en 1687 ou bien parallèles des anciens et des modernes en 1688-1698). Mais il est surtout connu pour ses
[...] Introduction : Charles Perrault est né à Paris en 1628. C'était un écrivain français. Adversaire de Boileau dans la querelle des anciens et des modernes il défendit le point de vue des modernes (le siècle de Louis le Grand en 1687 ou bien parallèles des anciens et des modernes en 1688-1698). Mais il est surtout connu pour ses contes de ma mère l'oie, composée après dans ces récits traditionnels dont la première édition en 1697 fut parue sous le nom de son fils, Perrault D'Armancour, alors âgé de 17 ans. [...]
[...] Le seul moyen de montrer qu'elle est bonne est de pardonner à ses soeurs. Il ajoute une fin heureuse qui n'est pas attendue, pour mettre en évidence la beauté de Cendrillon ainsi que sa bonté. Il transforme le texte de Grimm. Le dénouement est comme forcé. Il met en évidence aussi les qualités de l'héroïne. Le pardon est une solution chrétienne, mais aussi une solution familiale. Le dénouement est artificiel. Il y ait une fin cruelle, au contraire, chez Grimm. L'élevage de Cendrillon appareil forcée. [...]
[...] Perrault n'est jamais tendre avec ses héros. Il est misogyne. On a une vision très bourgeoise de Cendrillon. La pantoufle est l'image du bonheur. On a les mêmes exécutifs qualificatifs entre le Cendrillon et sa pantoufle : bonne belle II) Le conte ressemble à une pièce de théâtre Le son de trompe rappelle le théâtre associé aux trois coups au début d'une pièce. C'est une scène de reconnaissance : derrière la servante se cache une princesse. Il vient en effet de gradation. [...]
[...] Cendrillon doit avoir un bel habit. Les gestes sont typiques au théâtre : ils sont exagérés. L'auteur utilise des hyperboles comme se jeter à ses pieds En les relevant et en les embrassant, elle fait monter en grade ses soeurs. Le dénouement est aussi spectaculaire que celui du théâtre : il est mis en valeur de la morale. Cendrillon est bonne, elle est mise au service de l'édifiant, elle apprend la vertu. Conclusion On retrouve le double aspect du conte : il est une morale (enseignement : la bonté est toujours récompensée) il est divertissant : montrer comment spectacle théâtral. [...]
[...] Il y a des procédés de ralentissement : - des ajouts d'adjectif - le temps : imparfait duratif. - observation qui dure longtemps. - héros décomposent les gestes par exemple approchant la pantoufle - un ajout de parole. Cendrillon est mise en valeur, comme une héroïne. Les autres personnages ne sont que spectateurs. Il y a champ lexical du regard à la ligne 11 et à la ligne 14. Lorsque l'on fait asseoir le personnage, c'est un signe de noblesse. De plus, les accessoires lui donnent de la valeur. [...]
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