Le Capital Livre 1 La production et la survaleur absolue et relative - Marx, fiche de lecture de 8 pages
Nous pouvons voir dans la citation que la coopération c'est ce qui résulte la mise en commun qui est le travail. Sa résulte le fait que dans le rapport salarial et capitaliste, on engage pas un individu, mais on engage toujours plusieurs et un groupe et c'est le groupe qui travaille et nullement l'individu qui travail. Le premier élément important, c'est que la collectivisation du travail pour Marx c'est une massification du travail. C'est-à-dire, que les travailleurs salariés, les travailleurs dans le capitalisme, agissent et travaille comme masse, plutôt que comme individu. Et c'est parce qu'ils agissent comme masse, que ce qui résulte de l'activité apparaît comme une masse, masse de survaleur, masse de marchandise.
[...] Le machiniste applique l'automatisation et le mot qu'il utilise c'est l'automate à la page 427 Tout système de machinerie, qu'il soit foncé sur la simple coopération de machines de travail analogues, comme dans le tissage, ou sur une combinaison de machines différenciées, comme dans la filature, constitue en soi un grand automate dès qu'il est mis en mouvement par un premier moteur qui se meut de lui-même Karl Marx Le Capital : Livre Quadrige, 2e édition, p Ibid.p.363 Ibid. p Ibid. p.399 Ibid. p.399-400 Ibid. p.416 Ibid. [...]
[...] Ce processus de massification qui résulte de la coopération, c'est un travail qui est moyen. On pourrait dire que la coopération, c'est de prendre un ensemble varié de façon de faire et de faire tendre vers une moyenne. Et pourtant, à l'intérieur de certaines limites, il se produit une modification. Le travail objectivé en valeur est du travail de qualité sociale moyenne, donc l'expression d'une force de travail moyenne. Or une grandeur moyenne n'existe jamais que comme moyenne d'une pluralité de diverses grandeurs individuelles de même espèce. [...]
[...] On peut dire par exemple l'idée d'Adam Smith, lorsque chaque ouvrier avait une tâche à faire. Il y a le principe de la partialisation qui est la dissolution de cette unité en fragment en partie, et c'est la réduction de la subjectivité individuelle en partie de ce tout. Il y a deux modalités d'existence de la division du travail. La division technique du travail et la division social du travail. La division du travail dans la manufacture, c'est la division technique et la division du travail dans la société, c'est la division sociale du travail. [...]
[...] La première qualité du travail capitaliste produit un travail moyen, la coopération engendre un travail moyen et cette moyenne n'est pas juste un résultat abstrait, elle est agitante. La moyenne devient une catégorie de la pratique capitaliste et elle oriente sa mise en forme du travail. Il nommera en bas de la page Quételet qui est un sociologue qui fait son œuvre juste avant Durkheim, il s'intéresse aux statistiques sociales, aux méthodes d'entreprises pour comprendre les phénomènes sociaux, mais la statistique sociale, ce n'est pas une science neutre, mais il partira des assurances, il explique que les assurances publique et privée travaillent et agissent sur la société, et c'est la qu'il voit à l'œuvre ce principe. [...]
[...] Question5 Qu'est ce que le travailleur collectif''? Si nous entrons davantage dans les détails, il apparaît tout d'abord évident qu'un travailleur qui exécute toute sa vie une seule et même opération simple transforme tout son corps en organe automatique et unilatéral de cette opération et qu'elle lui demande moins de temps qu'à l'artisan qui exécute toute une série d'opérations en alternance. Or le travailleur global combiné, qui constitue le mécanisme vivant de la manufacture, est constitué uniquement de ce genre de travailleurs partiels unilatéraux Marx prend acte de l'idée que par la spécialisation sont les gens qui se perfectionnent et c'est une division du travail. [...]
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