Voltaire est un écrivain français du dix-huitième siècle philosophe du siècle des Lumières.
Il a écrit de nombreux contes philosophiques dont Candide, qui raconte les voyages d'un jeune garçon naïf et les enseignements qu'il en tire.
(...) Voltaire cherche à montrer en premier lieu, la réalité de l'esclavage en décrivant la très dure vie de tous les esclaves noirs.
En expliquant tout d'abord leur tenue vestimentaire : "moitié du caleçon bleue", mais en faisant aussi des allusions au Code Noir : "la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main, quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe la jambe".
Il démontre qu'à l'époque, il n'était pas nécessaire d'habiller les noirs et que le plus simple habit leur suffisait.
Leur vie était donc régie par les lois du Code Noir qui considérait ces derniers comme des animaux, des moins que rien.
L'auteur va ensuite décrire le commerce des esclaves, en donnant le prix d'un esclave à l'époque : "dix écus patagons".
Il donnera ensuite un des lieux du commerce triangulaire : "la côte de Guinée", ainsi que un des pays esclavagistes : "hollandais" mais aussi l'activité des esclaves : "nous travaillons aux sucreries".
Avec ces précisions, Voltaire nous raconte tout du commerce d'esclaves : le lieu, le prix et l'activité des esclaves, comme s'ils étaient des marchandises.
Après avoir montré la réalité de l'esclavage, Voltaire essaie de persuader le lecteur du dix-huitième de l'indignité, de la barbarie de l'esclavage (...)
[...] Il a écrit de nombreux contes philosophiques dont Candide, qui raconte les voyages d'un jeune garçon naïf et les enseignements qu'il en tire. Dans cet extrait du chapitre dix-neuf, Candide rencontre un esclave qui lui raconte son dur quotidien. Comment Volt aire arrive à dénoncer la cruauté de l'esclavage ? Dans un premier temps nous montrerons qu'il s'appuie sur des faits réels, Deuxièmement nous mettrons en évidence les registres pathétique et ironique. Voltaire cherche à montrer en premier lieu, la réalité de l'esclavage en décrivant la très dure vie de tous les esclaves noirs. [...]
[...] Après avoir montré la réalité de l'esclavage, Voltaire essaie de persuader le lecteur du dix-huitième de l'indignité, de la barbarie de l'esclavage. En montrant premièrement que l'Église nie la réalité de l'esclavage : " tous enfants d'Adam , blancs et noirs : "Je ne suis pas généalogiste ; mais si ces prêcheurs disent vrai, nous sommes tous cousins issus de germains" , Voltaire essaye d'expliquer qu'il ne faut pas croire tout ce que dit l'Église et qu'il ne faut pas fermer les yeux devant la cruauté , la barbarie de l'esclavage . Voltaire cherche a persuader grâce au registre pathétiques. [...]
[...] Voltaire fait appel aux sentiments en faisant découvrir de terribles vérités sur la vie des noirs. L'auteur cherche aussi a persuader avec le registre ironique, et notamment grâce à une disproportion entre la satisfaction du plaisir gustatif des Européens et la mutilation des esclaves pour arriver à ce plaisir : "C'est à ce prix là que vous mangez du sucre en Europe. Avec aussi un décalage entre l'espoir de la mère et le vécu du fils devenu esclave : "tu as l'honneur d'être esclave de nos seigneurs les blancs». [...]
[...] Devoir Seconde Commentaire de Texte sur : Extrait du Chapitre 19 de Candide de Voltaire : Le nègre de Surinam 2.5 Pages Plan : * Introduction * Axe 1 : Appuie sur des faits réels * Axe 2 : Les registres pathétiques et ironiques * Conclusion Extrait : En approchant de la ville, ils rencontrèrent un nègre étendu par terre, n'ayant plus que la moitié de son habit, c'est-à-dire d'un caleçon de toile bleue ; il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite. Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais- tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. [...]
[...] *Persuader, en faisant appel aux sentiments du lecteur, en utilisant les registres pathétique et ironique. On pourrait rapprocher cette oeuvre d'un autre roman, Supplément au voyage de Bougainville écrit par un contemporain de Voltaire ; Diderot. Ce livre essaye lui aussi de faire ouvrir les yeux aux personnes du dix- huitième quant a la barbarie de l'esclave des noirs. [...]
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