Candide, chapitre 3, Voltaire, description positive des armées, déroulement de la bataille, fuite de Candide
Le XVIIIe siècle des lumières est caractérisé par une lutte contre les inégalités, le fanatisme religieux, l'injustice et l'intolérance ; mené par des penseurs écrivant pièces de théâtre, romans ou contes pour exprimer les idées. L'un d'eux Voltaire écrit un conte Candide. Lors de la parution, la guerre de 7 ans est déjà commencé depuis trois années et à fait plusieurs milliers de morts. L'extrait issus du chapitre III de registre polémique, satirique et ironique eut s'apparenter à cette guerre. Le début de ce chapitre narre la fuite de Candide pendant le combat.
[...] De la ligne 4 à 11, le narrateur décrit le déroulement de la bataille en dominant le bilan des morts de façon neutre. De la ligne 12 à 23, c'est la fuite de Candide et la découverte du village brute et du sort des habitants causé par une des deux armées. Nous montrerons comment Voltaire fait la satire de la guerre et construit une dénonciation envers elle en dégradant son image au fur et à mesure et en utilisant la vision naïve du héros. [...]
[...] On remarque également des termes tel que ici là prouve que la guerre est partout. L'expression selon les lois du droit public prouve que dans ce texte la guerre et le massacre des civils serait une lois, Voltaire met cette phrase en dérision, pour lui ces actes devrait être interdit. Le texte peut être comparé à un spectacle, on remarque une description de la scène et de l'orchestre ainsi que le déroulement des actions. Grâce à tous ces éléments, Voltaire présente la guerre comme un acte inhumain à travers le regard na¨f de Candide, puis la rend grotesque et absurde pour dénoncer l'optimiste. [...]
[...] On remarque, la présence du champ lexical des armes canons mousqueterie et baïonnette Le narrateur annonce de façon neutre le bilan des morts six mille hommes neuf à dix mille Cependant, les chiffres sont approximatif a peu près environ cela montre que le nombre de mort exact n'a pas d'importance ici tandis que pour Voltaire cela l'est. On perçoit de l'ironie dans les expressions ôta du meilleur des mondes et fut la raison suffisante ainsi que tremblait comme un philosophe à travers elles, Voltaire se moque de Pangloss et indirectement de Leibniz un optimiste dont l'auteur contestait les idées. On trouve des termes tel que «coquins et infectaient la surface qui rendent les soldats responsables de la guerre, ceci est également accentuer par l'oxymore boucherie héroïque. [...]
[...] L'un d'eux Voltaire écrit un conte Candide. Lors de la parution, la guerre de 7 ans est déjà commencé depuis trois années et à fait plusieurs milliers de morts. L'extrait issus du chapitre III de registre polémique, satirique et ironique eut s'apparenter à cette guerre. Le début de ce chapitre narre la fuite de Candide pendant le combat. Lors des deux premiers, le contexte est présenté avec ensuite l'enrôlement involontaire du héros dans l'armée ainsi que la décisions du roi des Bulgares de livrer bataille au roi des Abares. [...]
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