Situation : Camus, homme de lettres (essayiste romancier, dramaturge et penseur). Il est philosophe mais n'est pas reconnu. Camus a pensé l'absurde. En // avec Sartre et même l'existentialisme sartrien, Camus développe une vision du monde marquée par les problèmes politiques et moraux de l'époque. Cette vision s'est bâtie à partir d'une perception aiguë de l'absurdité du monde.
L'absurde chez Camus : il ne s'est pas inspiré de JP Sartre pour parler de l'absurde. Il s'est inspiré de deux grands auteurs (Dostoïevski et Kafka) (...)
[...] Toutefois, présence de 2 connecteurs logiques=> en somme, mais L15 et L17. Ces connecteurs introduisent un malaise de la part du lecteur quant au raisonnement de M. En effet, il tente de justifier le comportement du patron et il est difficile de comprendre le paradoxe qu'introduit Meursault à savoir qu'après l'enterrement de sa mère, le patron serait apaisé. Est-ce un détail de réalité sordide ? -Nécessité pour le lecteur de combler des lacunes dans le discours de Meursault. Quel sens donner à qui ne veut rien dire ? [...]
[...] -Discours à peine plus construit que le télégramme. Discours presque sous forme de prise de notes et phrases réduites à plus simple expression. Ce type de discours oral est un gage de vérité. Le lecteur n'est pas tenté de mettre le réel en doute. Il n'est pas dans l'air du soupçon. 1er malaise Succession d'évènements consignés de façon très épuré. Absence totale de mots de liaisons (Asyndètes : Phrase que l'on construit sans mots de liaisons) Cela montre que la personne réfléchit. [...]
[...] Camus pense que les dangers d'une révolution est l'instauration d'un régime dictatorial. Camus pense que les artistes sont ceux qui ont exprimé de la manière la plus juste cette protestation de l'homme contre sa condition. Informations sur l'Etranger de Camus : L'étranger Roman qu'il termine en 1940 et publié en 1942. Ce livre parle d'un enchainement de hasards successifs qui conduit le personnage de Meursault à un meurtre : C'est le tragique de l'absurde. Il est condamné à mort au nom de principes conventionnels, hypocrites, dénués de sens : C'est un autre aspect du monde de l'absurde. [...]
[...] Nous sommes coupés des codes traditionnels de la lecture romanesque. Nous sommes plongés dans une intériorité difficile à suivre. Confronté à un personnage qui n'à pas de réaction émotionnels. Si Meursault le degré 0 de la conscience, il n'est pas indifférent. Il refuse tout simplement d'interpréter ses axes. Ce n'est pas un refus de communication. C'est un personnage qui ne peut pas donner une signification aux choses. Personnage qui refuse de livrer son mystère et il est donc victime d'une société qui veut tout expliquer. [...]
[...] Camus a pensé l'absurde. En avec Sartre et même l'existentialisme Sartrien, Camus développe une vision du monde marquée par les problèmes politiques et moraux de l'époque. Cette vision s'est bâtie à partir d'une perception aigue de l'absurdité du monde. L'absurde chez Camus Il ne s'est pas inspiré de JP Sartre pour parler de l'absurde. Il s'est inspiré de deux grands auteurs (Dostoïevski et Kafka). Dans un de ses livres les plus connu intitulé le mythe de Sisyphe Il définit l'absurde : le sentiment de l'absurdité au détour de n'importe quelle rue peut frappée à la face de n'importe quel homme A savoir que selon Camus, la société a perdu ses valeurs spirituelles. [...]
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