Situation du texte :
- [septembre-octobre] installation dans la peste : le revirement de Rambert, grande fatigue générale (femme de Rieux très malade)
- [derniers jours d'octobre ] mort du jeune Othon => malade
- [novembre] 2ème prêche et la mort de Paneloux, <= peste ?
- [fin novembre] Récit de Tarrou à Rieux. Maladie de Grand => guérit (...)
[...] Mais cette présence du Mal, vécue comme une fatalité qui pèse sur l'homme, est illustrée par le récit de la mort qu jeune Othon : le fléau a frappé un innocent et chacun le vit comme un scandale. Quel sens a un monde qui permet la mort d'un enfant dans d'atroces souffrances ? Camus refuse tout signification à ce monde et repousse donc toute foi en Dieu : Je refuserai jusqu'à la mort, dit Rieux, qui est ici son porte-parole, d'aimer cette création où des enfants sont torturés (p. 199). Le médecin ne peut conclure qu'à l'inexistence de Dieu et à l'absurdité de l'univers. [...]
[...] Une scène d'agonie pathétique qui traduit la souffrance des victimes de la peste : TR : dure confrontation avec la réalité de la maladie, ce qui provoque des réactions différentes chez les personnages. II. Des réactions face à la souffrance différentes selon les prsgs : TR : Dans son premier prêche, Paneloux estime la peste comme une aubaine, une invitation au retour aux valeurs essentielles qu'est la foi. Cette malédiction de la peste aurait donc été jetée par Dieu, mais Dieu est bon, alors pourquoi s'en prend il aux innocents ? ( remise en question de la religion. Réponse de Camus : parce que nous vivons dans un monde absurde. III. [...]
[...] * [ novembre] 2ème prêche et la mort de Paneloux, ( peste ? * [ fin novembre] Récit de Tarrou à Rieux. Maladie de Grand ( guérit. (Caractérisation : Type de texte : narratif et descriptif les douleurs du jeune Othon; imparfait itératif et duratif Registre dominant : réaliste et pathétique Structure : à 20: . description de l'enfant, de l'état dans lequel il se trouve ( sa souffrance physique. l à 39 : dialogue entre Rieux et Tarrou, n'osent parler, car ils se sentent impuissants, Paneloux est présent l à fin : Comparaison de l'enfant ( combatif contre les autres malades ( consentement dans leur manière de prendre la maladie. [...]
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