Afrique du Sud, nouvelle, bataillon, fiction, histoire du rugby
Avec mon bataillon, nous survolons l'Afrique du Sud. Pretoria, la capitale d'un certain pays qui écrit chaque année, un mot de plus dans l'histoire du rugby. Les jacarandas étouffent la ville, les buildings sont présents. Mais lorsque nous arrivons à la frontière du Lesotho*, je commence à entendre les bruits désagréables que fait l'hélicoptère, je ne les avais pas entendus jusqu'à maintenant mais là, les cadavres dominent les plaines sombres et ces rivières ensanglantées, les organes flottant me rappellent les poissons morts par la pollution errant à la surface de La Vilaine. Les arbres morts, brulés me font penser aux épouvantails que plaçaient les fermiers dans leurs champs de blé.
[...] Je vais rassurer nos nouveaux protégés. bon, nous les avons éliminés, nous allons retourner au camp» informai-je. Le trajet se déroula sans problèmes, jusqu'au moment où nous arrivions près du campement. Nous entendons des cris, des détonations d'armes, et des bruits de couteaux égorgeant des gens. Je fais alors signe de s'arrêter, et part en éclaireur. J'observe . J'observe . Je constate que les Rebelles ont découvert notre Bivouac . Un film d'horreur se passe en direct sous mes yeux, mes frères d'armes qui se font fusilier, malgré leur résistance, les révolutionnaires les abats un par un, soudain, j'aperçois le jeune homme de l'hélicoptère, ils s'apprêtent à le fusiller. [...]
[...] Elle prend la parole en première: _ Vous allez bien, normalement, Vous allez bientôt sortir. D'accord mais, où suis-je? demandai-je Vous êtes en sécurité sur l'île de la Réunion Je sors de l'hôpital quelque temps après pour faire des provisions au supermarché. Je prends un taxi, jaune, puis-je lui demande de m'amener au supermarché le plus proche. Je me rends très vite compte que j'étais à Saint-Denis. Des panneaux de publicité des arbres, partout on trouve des arbres. Très vite, J'arrive à destination. _ Cela fait . monsieur. S'écrie le chauffeur _Quoi? ! [...]
[...] J'encourage une dernière fois mes hommes : Aujourd'hui est un bon jour pour mourir, derrière ces lignes de Rebelles se trouvent nos alliés, ils nous attendent, mais d'abord il faut que ce bunker là-haut, le voyiez-vous, soit détruit, ce sera là-bas que se jouera votre destin Je sais cela ne va pas être facile, peu être que j'y laisserai ma peau, peu être John ou quelqu'un d'autre, mais on m'a chargé de soldats gouvernementaux souvenez-vous de mon discours près de l'ancien camp pour ceux qui étaient avec moi mais pour les autres : Je veux que vous deveniez pendant quelques minutes, voir heures les soldats les plus valeureux aux Mondes _ Ouais ! Crièrent mes hommes. Dans quelques minutes je vais peut être mourir, mais je n'y pense pas, je vérifie mon FAMAS s'il est en état de marche. Derrière moi, les hommes stressent, je vois en eux la peur, mais je n'y peux rien. [...]
[...] Demandai-je _Il demande s'il peut nous aider. _Il aurait pu nous dire bonjour d'abord ! _Il l'a dit ! _Bah tu ne l'as pas dit qu'il l'a dit. _Bon je peux reprendre que les choses importantes non ? Et puis vous n'avez qu'à apprendre l'Anglais aussi ! Sinon il peut faire quelque chose ou non ? _Nous aimerions manger, est-ce possible ? _Attendez, we'd like to have a meal, can we? _Yes of course, follow me. Réplique généreusement le lesothan. [...]
[...] Moi, je cours et monte sur une colline sans penser à rien, soudain des ennemis dévalent d'un talus je les abats sans problème avec mon FAMAS. Puis des rafales de tirs viennent en direction de la forêt. _ Permission terminée ! Prenez vos armes et cachez-vous ! Ils nous attaquent ! Hurlai-je. Mince ces chiens sont biens camouflés, je regarde derrière moi, mes hommes qui courent désespérément pour ce cacher dans la Jeep, seul souvenir des journalistes. Etant de plus en plus confiant, je cours vers le quatre-quatre, et lance une décharge de balles. [...]
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