Devoir de français ayant pour thème la scène d'exposition au théâtre.
[...] Le valet, embarrassé. Je ne peux Hercule, d'un ton menaçant. Tout de suite ! Le valet, apeuré. Maintenant ? Mais mon maître ne veut pas être dérangé. Hercule, commençant à s'énerver. J'ai dit tout de suite ! Le valet, terrorisé. Bien, suivez-moi. Hercule et le valet se dirigent vers une salle du palais où siège Eurysthée. Eurysthée voyant entrer Hercule et son valet, d'un ton agressif. [...]
[...] L'action de Les Caprices de Marianne se passe à une époque contemporaine de l'auteur. De plus, les personnages sont issus d'un milieu bourgeois. Cela permet de dire que cette pièce est une comédie ; cela est confirmé par le caractère des personnages, par le valet qui est “fort laid mais as beaucoup d'esprit”ainsi que par la pièce écrite en prose. Néanmoins, Claudio veut engager un spadassin pour éliminer amants” ou plutôt l'amant de sa femme ce qui prévoit une fin tragique. [...]
[...] Il se cogne contre le mur en sortant. Hercule, énervé. Que me vouliez-vous ? Eurysthée, d'un ton posé. Comme vous le savez, il va falloir trouver un moyen d'expier ce crime. Et , comment dire Hercule. Je te savais lâche et vaniteux mais je peux aussi constater que tu es aussi médiocre. Eurysthée, d'un ton ironique. Mon cher cousin, visiblement tuer ne vous gêne pas. Ça tombe bien. Il se trouve que le monde à besoin d'une sorte de de nettoyeur chargé de supprimer quelques monstres. [...]
[...] La première scène d'exposition que nous étudierons est celle d'Andromaque, pièce écrite par Racine en 1667. Cette scène nous présente en détail deux personnages, Oreste et Pylade, et nous apprend l'existence de 3 autres personnages : Hermione, fille de Ménélas ; Ménélas, père d'Hermione ; Pyrrhus, “vengeur de sa famille” (famille de Ménélas), roi d'Epire la cour de Pyrrhus”, vers et fiancé d'Hermione (“Ménélas disposa de sa fille en faveur de Pyrrhus”, vers 41-42). Oreste retrouve Pylade, son si fidèle” (vers qu'il n'a pas vu depuis “plus de six mois” (vers à cause de ses “malheurs” (vers 14). [...]
[...] Que dois-je faire ? Eurysthée. J'attends un de mes ministres qui va bientôt arriver pour me faire part d'un problème régnant dans la région. En effet, il semblerait qu'une bête, dont je ne connais pas encore la nature, terrorise mais gens et dévore mes troupeaux. J'attends un rapport de mon ministre pour en être sûr et savoir de quoi il s'agit. Hercule, indigné. Je ne suis pas un chasseur, donnez ce travail à un de vos esclaves. Eurysthée. Je fais ce que je veux. [...]
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