Honoré de Balzac, Emile Zola, Gustave Flaubert, Guy de Maupassant, Le Parnasse, Théophile Gautier, Symbolisme, Charles Baudelaire, Surréalisme, André Breton, Louis Aragon
Honoré de Balzac (XIXème):
Romancier qui travaille de manière acharnée, mais croule sous les dettes. Il s'épuise et meurt prématurément. Il veut peindre la société de son temps, « faire concurrence à l'Etat civil ». Les personnages de ses romans constituent des types sociaux, par exemple Rastignac dans Le Père Goriot, incarne le jeune ambitieux, voulant connaître la fortune. Grâce aux femmes, il apprend les mœurs de la société pervertie. Le Père Goriot se sacrifie pour ses filles, qui ne lui offrent que du mépris. Rastignac comprend alors que pour gravir les échelons, il devra s'adapter aux coutumes des gens.
[...] Dans Le Mal, poème qui suit la forme du sonnet, il dénonce la guerre franco-allemande mais aussi la religion qui profite de la situation : Tandis que les crachats rouges de la mitraille / Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu. Le Surréalisme André Breton (20ème) ! Il traverse la Première Guerre Mondiale dans les services de santé de l'armée. Il soutient le mouvement Dada de Tristan Tzara qui prône la folie et la destruction de toute forme d'ordre. Il donne un contenu théorique au surréalisme dans le Premier Manifeste Surréaliste en 1924. [...]
[...] Réalisme, Naturalisme (XIX) Honoré de Balzac (19ème) ! Romancier qui travaille de manière acharnée, mais croule sous les dettes. Il s'épuise et meurt prématurément. Il veut peindre la société de son temps, faire concurrence à l'Etat civil Les personnages de ses romans constituent des types sociaux, par exemple Rastignac dans Le Père Goriot, incarne le jeune ambitieux, voulant connaître la fortune. Grâce aux femmes, il apprend les mœurs de la société pervertie. Le Père Goriot se sacrifie pour ses filles, qui ne lui offrent que du mépris. [...]
[...] Il fonde le Surréalisme avec André Breton et Louis Aragon, mais il se brouille avec Breton et rompt avec le mouvement. ! Il soutient toutes les révolutions, adhère au Parti Communiste. Sous l'Occupation, il publie dans la clandestinité, et est depuis célébré comme l'un des plus grands poètes de la Résistance. ! Capitale de la Douleur propose des poèmes en prose et en vers. Il chante son amour à Gala, une de ses femmes, langage réinventé. Le rêve et l'imaginaire ont une part importante. La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur. [...]
[...] 1 Le Parnasse (XIX) Théophile Gautier (19ème) ! Poète, romancier, il dénonce avec esprit et véhémence les excès idéalistes du romantisme. Il voyage beaucoup dans l'Orient. Il est fervent de la théorie de L'art pour l'art qu'il expose dans son roman Mademoiselle de Maupin. Pour lui, l'art n'a pas à transmettre ses idées ou sa morale. Il recherche seulement la beauté, en dehors de toute visée utile. ! Il n'y a rien de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid. [...]
[...] Il jette les fondements de la doctrine naturaliste dans un texte célèbre : Le Roman expérimental (1880) ! Dans Les Rougeon-Macquart, les différents membres de la famille incarnent différentes couches sociales sous le Second-Empire. Il mentionne également les transformations qui se produisent à cette époque (urbanisme parisien, grands magasins, développement du chemin de fer). ! Dans J'accuse, il prend parti en faveur de Dreyfus, officier juif injustement accusé d'espionnage : Jeunesse, jeunesse ! Sois humaine, sois généreuse. Si même nous nous trompons, sois avec nous, lorsque nous disons qu'un innocent subit une peine effroyable, et que notre cœur révolté s'en brise d'angoisse. [...]
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