Etude de corpus sur le sujet suivant : L'efficacité de l'apologue.
[...] Ainsi que dans le dernier texte où il est inexistant. Seul La Fontaine utilisa se temps pour des actions soudaines révolues dans le passé : il mit (ligne fit (ligne allèrent (ligne etc. L'imparfait est quand à lui très utilisé. Fénelon l'emploi aussi bien pour la description que pour des actions qui durent dans le passé : vivaient paraissaient était etc. Quand à lui, La Fontaine s'en sert uniquement pour des actions qui durent dans le passé fuyait suivait (ligne 2). [...]
[...] Dans ce corpus, nous pouvons retenir une leçon de chacun des textes. Le premier texte parle d'un pigeon qui vivait heureux avec son ami et leurs compagnes. Il voulait de l'action et parti transporter le courrier du roi, trop tard il se rendit compte que sa maison lui manquait et fut tué avant de pouvoir y retourner. A travers cette histoire nous apprenons que rien ne vaut la tranquillité de son tendre chez soi. La fable de La Fontaine a une morale. [...]
[...] Etude de corpus L'efficacité de l'apologue Documents : A. Fénelon. Le pigeon puni de son inquiétude Fables et opuscules pédagogiques, XX B. Jean de La Fontaine, Le Torrent et la Rivière Fables, VIII C. Charles Baudelaire, Le joujou du pauvre Le spleen de Paris Questions : 1. Sur quelles oppositions repose chacun des trois textes ? Justifiez votre réponse Pour chacun de ces apologues, formulez la leçon qu'on peut en tirer Etudiez et commentez les variations dans l'emploi des temps verbaux et appréciez-en l'effet dans ces trois textes. [...]
[...] Nous pouvons relever le champ lexical du calme : paix profonde (lignes douce société (ligne leur vie était délicieuse (ligne 12) et celui de la mort : son sang coule tombe ténèbres de la mort (ligne 30). La vie qui était tranquille et remplie de bonheurs simples de ce pigeon est donc opposée à sa vie qui est devenue active et le conduisit à sa mort. Nous pouvons constater que, dans ka fable de La Fontaine la tranquillité est encore présente, ici c'est la tranquillité de la rivière qui est opposée à la brutalité du torrent. [...]
[...] En lisant ce corpus nous constatons que différents temps sont employés tout au long des textes. Ces temps sont principalement le présent, le passé simple et l'imparfait. Dans les deux premiers textes les présents sont des présents de narration car ce sont des textes se déroulant dans le passé. Pendant le voyage du pigeon le présent est utilisé pour rendre ce passage plus vivant : il part il va il passe (ligne 15) Dans le texte deux, le présent insiste sur une péripétie : il entre, et son cheval le met (vers 18) et sur la morale de l'histoire. [...]
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