Apollinaire peint dans ce poème un paysage fluvial de nature printanière. Il est question d'une promenade en barque sur le Rhin. Par une description de la nature, Apollinaire parle d'un amour impossible. Le rythme, les sonorités et les rimes donnent un aspect fluide au poème, un rythme lent et régulier. La syntaxe du poème rejoint l'idée du fleuve qui coule lentement sans heurt pour définir l'image du temps qui passe et qu'il ne peut contrôler (...)
[...] Le recueil mais l'accent sur l'ivresse de l'existence. Il y a le réel et le rêve, l'ivresse du désir mais il y a aussi la rupture : côté magique de l'ivresse et éphémère, amour et désespoir. L'ivresse de l'écriture : la poésie devient un alcool qui peut apaiser le poète et lui donner ce que la vie lui refuse. L'ivresse est aussi un tournoiement d'images. C'est un poème de la section Rhénane. Il s'est éjourné en Rhénanie en temps que percepteur et s'est épris d'Anne Playden, un amour douloureux. [...]
[...] Evocation du souvenir qui embellie le passé : le temps idéalise le souvenir Restes : le vent du Rhin, un souffle de vie car la nature, elle revient. La vie triomphe dans ce mouvement du vent, du Rhin, "secouer", Les 3 éléments de la nature qu'on voit bouger sous la force du vent. Jaseur : renvoie au personnage de Midas. Il s'est moqué d'Apollon et il a été condamné à porter des oreilles d'ânes. Seul le coiffeur le savait. IL a creusé la terre et l'a révéler à la terre. Les roseaux qui l'on entendu jasent. Ils font passer un message. [...]
[...] Le "mai" est vraiment devenu un personne : sujet du verbe "paré" dont le complément "ru-ine" : diérèse Ruine : C'est à la fois ce qui reste ce qui montre la dégradation du temps mais elles sont aussi ce qui demeure du passé, la trace de ce qui a disparu. Les ruines peuvent être celles des châteaux de la première strophe. Le lierre représente l'amour fidélité (assonances en ier) La vigne vierge de porte pas de fruits : stérilité pour monter le rapprochement avec la 1ère strophe, un amour impossible qui n'a pas porté de fruits. L'homme à disparu, seul subsiste la nature. [...]
[...] Le fleuve, le Rhin est le symbole de la fuite du temps. On suit les différentes personnes qu'il nous propose. Une promenade au moi de mais qui symbole le printemps et donc le commencement, le moi des amours 1ère strophe : une rencontre impossible Apollinaire joue sur les mots, 1er vers une tonalité très légère Il commence par reprendre une petite chanson allemande qui amuse le lecteur et qui s'interroge aussi Article défini pour exprimer un mois de mai précis : le mois de mai 1901 et le mois de mai général. [...]
[...] Par une description de la nature, Apollinaire parle d'un amour impossible. Le rythme, les sonorités et les rimes donnent un aspect fluide au poème, un rythme lent et régulier. La syntaxe du poème rejoint l'idée du fleuve qui coule lentement sans heurt pour définir l'image du temps qui passe et qu'il ne peut contrôler. Le Rhin, les tziganes qui se déplacent constamment, ont une valeur symbolique et représente le passage du temps. Ce poème traite en faite d'un amour malheureux qui lui échappe au fil du temps. [...]
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