Antigone, Jean Anouilh, Antigone dans un souffle, vraie femme, Hémon, scène tragique
Antigone emploie le conditionnel lorsqu'elle parle à Hémon. Ce mode a une valeur d'irréel. Elle soumet à Hémon des suppositions. Par exemple, elle lui dit : « Le petit garçon que nous aurions eu tous les deux », ce qui veut dire que comme Antigone va mourir, elle ne pourra pas avoir d'enfants avec Hémon. Elle lui démontre aussi des faits qui ne se réaliseront pas : « Je l'aurais bien défendu. »
[...] A partir de : Antigone dans un souffle jusqu'à : vraie femme Hémon a-t-il perçu cette valeur ? Antigone emploie le conditionnel lorsqu'elle parle à Hémon. Ce mode a une valeur d'irréel. Elle soumet à Hémon des suppositions. Par exemple, elle lui dit : Le petit garçon que nous aurions eu tous les deux ce qui veut dire que comme Antigone va mourir, elle ne pourra pas avoir d'enfants avec Hémon. Elle lui démontre aussi des faits qui ne se réaliseront pas : Je l'aurais bien défendu. [...]
[...] Antigone se sent mal alaise et inutile avec Hémon. Elle essaie de faire des efforts dans sa manière de s'habiller, qui ne sont pas perçus par Hémon. En quoi cette scène est-elle tragique ? Cette scène est tragique, ce qui veut dire qu'elle répond aux destins des personnages, car dans le prologue, il est dit que Hémon ne savait pas que Antigone n'aurait jamais de mari. Antigone doit mourir donc ne elle ne doit pas avoir de mari. C'est pour cela que Antigone, malgré son consentement pour le mariage, rompt avec Hémon, fils de Créon. [...]
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