Chapitre I
Octave Mouret, fils de François Mouret et Marthe Rougon, âgé de vingt-deux ans, quitte Plassans pour s'installer à Paris. Un ami de la famille, l'architecte Achille Campardon, lui trouve un logement dans un immeuble bourgeois parisien de la rue de Choiseul. Le jeune homme loge au quatrième étage. Il rencontre le concierge Gourd et prend connaissance des autres occupants : le propriétaire Vabre avec ses trois enfants et son gendre Duveyrier chez qui il loge, Mme Juzeur, Campardon avec sa femme Rose et sa fille Angèle, la famille Josserand avec deux filles célibataires, le couple Pichon et leur petite fille ainsi qu'un célèbre écrivain.
Venant de Marseille pour avoir une situation dans le commerce, ayant déjà des rentes et de l'argent à placer, Campardon lui trouve rapidement un emploi de premier commis chez les Hédouin, qui dirigent le magasin de nouveautés Au Bonheur des Dames, une enseigne de taille modeste. Mais, Octave s'aperçoit rapidement que l'architecte entretient une liaison avec la cousine Gasparine, qui travaille dans le même commerce que lui et visite souvent l'immeuble.
Chapitre II
Les relations dans l'immeuble sont rendues compliquées par la vanité d'une bourgeoisie hypocrite et vicieuse. Mme Josserand, une mégère orgueilleuse et perpétuellement insatisfaite de sa condition, souhaite marier ses filles : Hortense, l'aînée de deux ans, qui pense en particulier à l'avocat Verdier, pourtant plus âgé qu'elle et vivant déjà en couple, sans y parvenir et Berthe, abandonnée brusquement par un sous-chef de bureau plein d'avenir. Le couple a également deux fils : Léon, qui a une maîtresse, Mme Dambreville, bien plus âgée que lui, et Saturnin, le cadet, analphabète, quelque peu simple d'esprit et très brutal. De plus, la famille guette la dote promise à Berthe par l'oncle Bachelard, le frère de l'épouse.
Chapitre III
Constamment désireuse de paraître, Mme Josserand organise régulièrement des soirées mêlant famille et voisins (...)
[...] Avec la stupéfaction du mari et la colère terrible de ses parents, Marie Pichon attend un troisième enfant. Le père Josserand décède. Alors, poussé à la réconciliation et attendri par son commerce qui périclite (ruiné par l'expansion du Bonheur des Dames), Auguste consent à reprendre Berthe. Duveyrier, à nouveau abandonné par sa maîtresse et ruiné, fait une tentative de suicide, ce qui a pour effet de le rapprocher de son épouse. Chapitre XVIII Huit mois après le décès de M. [...]
[...] Chapitre IX Les intrigues des habitants de l'immeuble s'accélèrent. Se réconciliant avec sa cousine, Gasparine vient s'installer chez Mme Campardon. Au grand dam du mari, Marie Pichon est enceinte, vraisemblablement d'Octave. Ce dernier, profitant d'un examen des commandes de la semaine avec Mme Hédouin, essaie de la séduire. Repoussé, l'échec est cuisant et, honteux, surtout d'avoir été aperçu par Gasparine à qui il voue une profonde inimitié, il décide de quitter son emploi le jour même pour aller s'installer chez Berthe et Auguste Vabre, qui tiennent un magasin de soies. [...]
[...] Mais la liaison finit par se savoir, colportée par les commentaires des bonnes et des domestiques. Chapitre XIV Les relations entre Berthe et Octave sont de plus en plus difficiles, dégradées par la nature dispendieuse de la jeune femme, lorsqu'une nuit, Auguste, le mari trompé, les surprend chez l'amant. Chapitre XV Entendant obtenir réparation en duel, Auguste va voir Duveyrier, conseiller à la cour d'appel, qui estime l'affront lavé lorsque Octave lui annonce son intention de quitter l'immeuble. Ce dernier, allé voir Mme Hédouin, a appris son veuvage et réussi à se faire réembaucher au Bonheur des Dames. [...]
[...] Le jeune homme loge au quatrième étage. Il rencontre le concierge Gourd et prend connaissance des autres occupants : le propriétaire Vabre avec ses trois enfants et son gendre Duveyrier chez qui il loge, Mme Juzeur, Campardon avec sa femme Rose et sa fille Angèle, la famille Josserand avec deux filles célibataires, le couple Pichon et leur petite fille ainsi qu'un célèbre écrivain. Venant de Marseille pour avoir une situation dans le commerce, ayant déjà des rentes et de l'argent à placer, Campardon lui trouve rapidement un emploi de premier commis chez les Hédouin, qui dirigent le magasin de nouveautés Au Bonheur des Dames, une enseigne de taille modeste. [...]
[...] Chapitre IV Dès le lendemain, Octave tente de séduire Valérie. Le temps passe et, en dépit de ses efforts, l'échec de cette relation lui semble vite évident : la jeune femme a été élevée dans le cadre austère d'une éducation stricte, notamment en matière de morale. Pendant une fête donnée chez les Josserand, il fait alors la conquête de Marie Pichon, sa voisine, qui s'ennuie en l'absence de son mari. Chapitre V Lors d'une réception chez les Duveyrier, Octave rencontre Mme Caroline Hédouin, sa patronne, qu'il trouve charmante et aimerait bien conquérir. [...]
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