(...) Troisième partie
A l'Avantage où il a une chambre à crédit, Etienne rencontre Souvarine, un anarchiste russe exilé en France. Il décide alors de contacter son ancien contremaitre, Pluchard, secrétaire d'un syndicat ouvrier, L'internationale. Ce dernier le convainc de créer à Montsou une section de L'internationale.
Mais craignant le chômage, les mineurs résignés acceptent les baisses de salaires.
En aout, Etienne s'installe chez les Maheu. Peu à peu il introduit ses idées révolutionnaires dans le milieu des mineurs et réussit à créer (...)
[...] Un avis de recherche est lancé contre l'agitateur, Etienne, qui se cache dans une mine abandonnée. La famine décime les enfants des Corons. La Compagnie des mines décide de faire venir des ouvriers belges pour remplacer les grévistes. La colère enfle dans les rangs des grévistes hurlant leur animosité aux traitres belges. Les soldats tirent dans la foule. On déplore 25 blessés morts dont Maheu. Septième partie Ce massacre met un terme à la grève. Etienne est rejeté de tous. A la tombée de la nuit, il rencontre Souvarine. [...]
[...] Mais craignant le chômage, les mineurs résignés acceptent les baisses de salaires. En aout, Etienne s'installe chez les Maheu. Peu à peu il introduit ses idées révolutionnaires dans le milieu des mineurs et réussit à créer une caisse de Prévoyance en cas de grève. En octobre, la crise industrielle se durcit. La compagnie des Mines profite de la conjoncture économique pour baisser davantage les salaires. C'en est trop. Les mineurs, révoltés, décident de la grève. Quatrième partie 15 décembre. Pas un homme n'est descendu dans les mines. [...]
[...] EMILE ZOLA, GERMINAL Première partie Mars 1866. Etienne Lantier, jeune machiniste au chômage pour avoir giflé son chef, erre sur les routes du Nord de la France à la recherche d'un emploi. C'est à la mine du Voreux qu'il rencontre Vincent Maheu, un vieux mineur malade : leur conversation dresse le paysage socio-économique d'une Région touchée par la misère. A 4 heures du matin, les corons commencent à s'animer. Les mineurs se préparent à aller travailler. Etienne réussi à se faire embaucher comme herscheur aux mines de Montsou où il rencontre la famille Maheu. [...]
[...] Pendant ce temps, les mineurs restés au fond de la mine hurlent de terreur, en vain. Personne ne les entend. Nul ne peut sauver sa vie. Chaval est mort. Catherine meurt à son tour dans les bras d'Etienne. Ce dernier sera délivré quelques jours plus tard. Le travail aux mines reprend. Une fois guéri, Etienne décide de partir pour Paris. Chemin faisant, Etienne médite sur le combat qu'il a mené et sur ceux qu'il lui reste à mener ailleurs, convaincu que le monde peut être changé et que le peuple en sera la clé. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture