Roman de la lutte des classes, Germinal, en ayant soulevé des thèmes sensibles, comme la "question sociale", est devenu le symbole du roman politique dans la littérature française. Puissant, poignant, émouvant... Germinal a marqué des générations de lecteurs et de militants. De plus, grâce à sa véracité (Émile Zola s'est documenté dans les mines), il se veut également être un document important sur les rebellions et l'arrivée du marxisme en France.
Publié en 1885, Germinal est le treizième Rougon-Macquart (...)
[...] Chaval remarque que le nouveau venu s'entend bien avec Catherine, ce qui le rend jaloux. Il s'approche soudain d'eux et embrasse Catherine, alors qu'Etienne était sur le point de le faire. Etienne est "glacé". Chapitre V Le groupe de travail critique les chefs, qui sont trop sévères et infligent des amendes. Juste à ce moment là arrivent l'ingénieur Négrel et le maître- porion (le contremaître en chef) Dansaert. Ils leurs infligent une amende pour "défaut de boisage", ce qui ravive leur colère. [...]
[...] Il se résigne et craint le pire. La foule tente d'avancer, de faire reculer les soldats, tout en les injuriant. Fort de leur nombre, ils ne craignent rien. Tous sont venus pour ce qui s'annonce être la lutte finale. Ils sont très sûr d'eux, et n'ont rien à perdre . sauf leur vie, tout ce qui leur reste . Les militaires font feu, beaucoup tombent, dont Maheu . C'est le désastre : 25 blessés et 14 morts. La sixième partie se termine par l'arrivée de l'abbé Ranvier, "il annonçait l'ère de la justice, la prochaine extermination de la bourgeoisie par le feu du ciel, puisqu'elle mettait le comble à ses crimes en faisant massacrer les travailleurs et les déshérites de ce monde". [...]
[...] Publié en 1885, Germinal est le treizième Rougon-Macquart. Première Partie : Chapitre I (un lundi de février 1865, vers trois heures du matin) Le roman débute par l'arrivée d'un homme, en pleine nuit, à la fosse du Voreux. Cet homme n'est autre qu'Etienne Lantier, fils de Gervaise Macquart (voir L'Assommoir), frère de Claude (L'œuvre), de Jacques (La Bête Humaine) et de Nana (Nana). Il arrive de Marchiennes. C'est Bonnemort, un charretier de 58 ans, qui l'accueille, et lui annonce qu'il n'y a pas de travail pour un machineur. [...]
[...] Etienne, Catherine et Chaval se retrouvent ensemble. Les fuites d'eau, dûes au sabotage de Souvarine, se font de plus en plus importantes. Mais les porions n'y prêtent guère attention. Tout à coup, l'équipe se trouve nez à nez avec un véritable torrent qui inonde leur tunnel. La catastrophe s'annonce, et on se bouscule auprès des cages pour remonter. Mais une vingtaine reste en bas, arrivée trop tard, dont Etienne, Catherine et Chaval. Négrel remonte à la surface, et annonce que "la fosse est perdue". [...]
[...] Il passe pour un homme instruit et capable. Sa "caisse de prévoyance" est désormais réelle. Tout comme le mécontentement de la majorité des ouvriers . Chapitre IV C'est le jour de paie au coron. La compagnie déguise une baisse des salaire en un "nouveau mode de paiement". C'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Les Mineurs sont consternés. C'est allé trop loin. De plus, Maheu se fait réprimander au sujet de son logeur, Etienne. La coupe est pleine. [...]
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