Malgré l'importance de ses dettes, il achète une maison de planteur assez décrépite à Oxford. Il y habitera toute sa vie. En 1931, sa femme Estelle lui donne une fille, mais celle-ci va décéder rapidement. Croulant sous les ennuis d'argent, sa situation ne va pas s'améliorer à la mort de son père, car il devra s'occuper de sa mère et de son jeune frère. Pour faire face à tout cela, il va écrire dans les journaux et pour Hollywood (...)
[...] Par contre, beaucoup de noirs sont partis vers le Nord où ils pensaient, naïvement trouver une égalité plus grande et des conditions meilleures. Si l'esclavage a été, légalement, supprimé dans le Sud cela ne change pas grand chose sur le plan pratique. Beaucoup de ces noirs vivent toujours aux frais de leurs anciens maîtres, dans la maison ou, le plus souvent, dans les anciennes dépendances. Par contre, ils ne peuvent plus subir de sévices, ni être vendus. Il va de soit qu'ils sont à peine payés. [...]
[...] Chacun a sa vision de ce voyage infernal. Il y a celle de Cash, paresseux, pingre, obsédé par ses outils, celle de Darl, jeune garçon à la folie incendiaire, celle de Jewell avec sa susceptibilité et celle de Vardaman qui fait des trous dans la planche du cercueil pour permettre à maman de respirer Et les populations de regarder passer cette étrange caravane qui donne une sensation de fin du monde, de fuite en Egypte. Ils vont y arriver enfin à cette petite ville où se trouve ce cimetière, mais après quelles péripéties ! [...]
[...] Fiche de lecture Tandis que j'agonise de Faulkner ID FDL : 81 Tandis que j'agonise de Faulkner Sommaire : 1. Biographie de Fauklner 2. Résumé 3. Contexte 4. Style 5. Idées Travail 1. Biographie de William Cuthbert Falkner William Cuthbert Falkner (son véritable nom) est né en 1897 dans l'état du Mississippi. Son arrière-grand-père y avait été un personnage assez important. Il avait été avocat, politicien, homme d'affaires et même écrivain. Très tôt Faulkner fait preuve de dons artistiques surtout pour le dessin et la poésie. [...]
[...] Puis, en six semaines, il écrit Tandis que j'agonise qui est publié en 1930. Malgré l'importance de ses dettes, il achète une maison de planteur assez décrépite à Oxford. Il y habitera toute sa vie. En 1931, sa femme Estelle lui donne une fille, mais celle-ci va décéder rapidement. Croulant sous les ennuis d'argent, sa situation ne va pas s'améliorer à la mort de son père, car il devra s'occuper de sa mère et de son jeune frère. Pour faire face à tout cela, il va écrire dans les journaux et pour Hollywood. [...]
[...] Le mieux, c'est de le laisser aller toujours pareil, avec sa petite besogne de chaque jour, et sans l'employer plus qu'il ne faut. Le principal but de Faulkner dans ce livre est de nous décrire ces gens simples, profondément croyants, et allant au bout de leurs idées. Il y a de l'orgueil dans leur comportement, mais aussi une énorme obstination bien paysanne. Et Dieu là-dedans, et le sens de la vie ? Elle est difficile, mais c'est celle que Dieu a voulu imposer aux hommes. Il faut respecter cette volonté pour gagner son paradis Sont-ils profondément Américains ou tout simplement universels ? [...]
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