Voyage au bout de la nuit, Louis Ferdinand Céline, scène comique, propriétaire collecte le caoutchouc venu de la forêt, colonialisme
Louis Ferdinand Céline est né en région parisienne en 1894 et mort en 1961. C'est un grand auteur du XXe siècle, traduit dans tout le monde, mais le plus détesté du monde littéraire, car on peut aimer l'œuvre, mais peut-être pas l'artiste. Il s'engage très jeune dans la guerre, mais est très vite blessé, cependant il a eu le temps d'évaluer l'horreur de la guerre. C'est un pacifiste. Il devient pessimiste, il n'a aucune confiance en l'humanité. C'est une misanthrope : quelqu'un qui n'aime pas l'humanité. Il se présente comme l'ennemi des juifs, c'est un pro-nazi. Pendant la guerre il était un parfait collaborateur, mais il n'y a pas d'explication à son comportement. Il s'est réfugié en Allemagne puis au Danemark, ici arrêté pour collaboration et est libéré en 1951.
[...] Comme la vulgarité du commerçant et la dignité des indigènes. Il y a la confrontation de 2 cultures, les blancs qui ne pensent qu'à escroquer et les noirs qui ont cette solidarité familiale. Il y a une barrière de cultures et de langues. Lorsque le père ne rend pas le mouchoir, il a le sens des valeurs : le respect des cadeaux, les indigènes ont le sens du respect contrairement aux blancs. Le silence des indigènes est aussi signe de dignité. [...]
[...] La perversité de la colonisation qui met les noirs de son côté. Ces noirs sont pires que les blancs pour s'intégrer. Dénonciation de l'exploitation, les blancs veulent s'emparer des richesses d'ailleurs. Conclusion : ce texte est difficile, en apparence il fait rire. Le lecteur partage le rire du narrateur qui assiste à la scène. Mais quelques remarques du narrateur nous montrent la colonisation. Nous devinons que le narrateur est frappé par la dignité des indigènes et met en relief l'exploitation des indigènes. Le narrateur est lâche et pessimiste. [...]
[...] Voyage au bout de la nuit Louis Ferdinand Céline Louis Ferdinand Céline est né en région parisienne en 1894 et mort en 1961. C'est un grand auteur du XXe siècle, traduit dans tout le monde, mais le plus détesté du monde littéraire, car on peut aimer l'œuvre, mais peut-être pas l'artiste. Il s'engage très jeune dans la guerre, mais est très vite blessé, cependant il a eu le temps d'évaluer l'horreur de la guerre. C'est un pacifiste. Il devient pessimiste, il n'a aucune confiance en l'humanité. [...]
[...] -Ce texte ressemble à une scène de théâtre, scène de comédie et farce avec des personnage : famille du noir, commerçant et des spectateurs comme au théâtre : blancs, clients noirs et le narrateur lui-même. Il y a le comique visuelle : costume des personnages. La famille noire est ridicule ( L-11 saturé d'un petit pagne rouge, petit caleçon orange. ils sont presque caricaturés. Le commerçant peut faire rire car il se gratte tout le temps et a des plaques rouges. Comique de situation : la débilité de la famille noire et l'agilité du commerçant. [...]
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