Le visiteur inattendu, Agatha Christie 2006, fiche de lecture, dénouement final, message moral, Richard Warwick, Michael Starkwedder, pièce de théâtre novélisé, polar, livre policier
Agatha Christie (1890-1976) est une auteure britannique de nombreux romans policiers. C'est elle qui a créé les personnages célèbres d'Hercule Poirot et Miss Marple. On la surnomme la "Reine du crime". Agatha Christie fait partie des écrivains les plus connus au monde et elle est considérée comme l'auteure la plus lue de l'histoire chez les Anglo-Saxons, après William Shakespeare. Il s'agit aussi de l'auteur le plus traduit dans le monde. Elle a publié 66 romans, 154 nouvelles et 20 pièces de théâtre, ces œuvres ayant été traduites dans le monde entier.
[...] On la surnomme la « Reine du crime ». Agatha Christie fait partie des écrivains les plus connus au monde et elle est considérée comme l'auteure la plus lue de l'histoire chez les Anglo- Saxons, après William Shakespeare. Il s'agit aussi de l'auteur le plus traduit dans le monde. Elle a publié 66 romans nouvelles et 20 pièces de théâtre, ces œuvres ayant été traduites dans le monde entier.[1] Le genre : Pièce de théâtre novélisé Policier / Polar Les thèmes abordés : Le meurtre, la cruauté, la vengeance, le handicap. [...]
[...] Agatha Christie laisse donc un tueur échapper à sa condamnation. Cela signifierait-il qu'elle considère le meurtre de Richard Warwick comme justifié au vu de son comportement lorsqu'il était vivant ? Auquel cas, il s'agirait d'un message fort. La victime qui a été bourreau de son vivant finit par payer et la vengeance est impunie. Appréciation personnelle : Cette pièce a été une agréable surprise, car on ne peut pas s'attendre au dénouement tant le final est surprenant. Jusqu'au dernières répliques, Agatha Christie nous induit dans l'erreur concernant l'identité de l'assassin. [...]
[...] Ce n'est qu'à la toute fin de l'histoire, alors que Laura Warwick se sent coupable de la mort de Jan Warwick (à qui elle tenait beaucoup), que Michael Starkwedder lui avoue la vérité par amour : C'est lui qui a tué Richard Warwick. Il s'est fait passer pour mort afin de préparer sa vengeance qu'il attend depuis deux ans, car il s'agit en fait de McGregor. Ceci dit, il se sauve. Le message moral de l'œuvre : Le méchant de l'histoire meurt depuis le début, mais on sent dans l'écriture qu'il le mérite pleinement et qu'on ne regrette pas son sort. À la fin, le meurtrier n'est pas arrêté, on a même tendance à avoir pitié de lui. [...]
[...] Michael Starkwedder décide de venir en aide à Laura : Il invente un plan avec elle pour faire croire qu'il s'agit de McGregor, le père du petit garçon tué. La police intervient et commence l'enquête. Entre-temps, on découvre que beaucoup de monde voulait en réalité se débarrasser de Richard Warwick. Le meurtre peut par exemple profiter à Julian Farrar qui est l'amant de Laura Warwick ou encore à Jan Warwick que Richard menaçait de faire interner dans un asile de fous. On apprend ensuite par la police que le coupable ne peut pas être McGregor comme ils le pensaient, car ce dernier est mort. [...]
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