Les Vikings reflètent pour nous contemporains, toute une série d'images qui nous a été transmise par les moines du Moyen Âge, afin de nous livrer une image « épouvantablement belle », de barbares voguant sur la mer et ravageant, brûlant tout sur leur passage. Mais la réalité est tout autre, les Vikings n'étaient pas des barbares, et la thèse de l'auteur est de nous montrer justement que ces vikings étaient les maîtres de toute une civilisation et d'une culture, afin de rompre avec les clichés faux et d'expliquer au contraire les clichés justes qui ont traversé les âges.
Le « mythe du nord » veut que ces hommes venus de loin et on disait que « du Nord vient la lumière », et que cette distance, ce froid, ces lieux inaccessibles les rendaient plus fort. Il y aurait quelque chose de fantastique chez eux. Comme par exemple dans les runes, ce moyen d'écriture inventé par eux vers 200, aussi appelé futhark. On prêterait, à cet alphabet runique un aspect magique, alors que l'étymologie du mot peut aussi signifier tout simplement « terme d'écriture » et rien d'autre, mais il y a bien une deuxième signification, celle-ci rapportant un secret chuchoté, un mystère (cf page 15). Montesquieu lui aussi avança que « l'air froid » et les « climats froids » rendaient les hommes plus forts, et que ceux-ci étaient mieux disposés dans toutes activités, ils seraient plus confiants, plus courageux, plus francs, et même conscients de leur supériorité ce qui leur enlèverait tout désir de vengeance. On dits même que ces derniers « meurent en riant », et qu'ils n'avaient par conséquent aucune peur de la mort, la cause de cette idée revient à un chef viking qui aurait récité un long poème scaldique avant sa mort qui se serait terminée par « je vais mourir en riant » (cf page 17). Il est certes vrai que pour ces hommes qui allaient affronter la mer, des peuples et des contrées inconnues, il fallait une grande bravoure de la part de ceux-ci, mais de là à les assimiler à ces monstres dépeints de nos jours.
[...] Et ces sagas nous présentent un portrait des vikings complaisant Malgré, nos connaissances qui s'améliorent sur les Vikings, ces derniers restent dans de nombreux ouvrages, mêlés à de l'ésotérisme tout en gardant leur caractère barbare ceci à cause de leur langue qu'est le norrois, qui pour nous dont la langue vient du Latin ne rappelle absolument rien, et qui étonne encore plus avec ces signes qui leur servent d'écriture. Ils sont apparus et ont disparu comme par enchantement. Dans cette partie, l'auteur nous propose de nous montrer que durant deux ces deux siècles de nombreuses choses se sont déroulées et qu'on ne peut toutes les rassembler, pour lui ces deux siècles sont séparables en plusieurs parties : La première serait de 800 à 850, c'est durant ces années là que les commerçants scandinaves ont commencé à repérer les richesses occidentales. [...]
[...] On dits même que ces derniers meurent en riant et qu'ils n'avaient par conséquent aucune peur de la mort, la cause de cette idée revient à un chef viking qui aurait récité un long poème scaldique avant sa mort qui se serait terminée par je vais mourir en riant (cf page 17). Il est certes vrai que pour ces hommes qui allaient affronter la mer, des peuples et des contrées inconnues, il fallait une grande bravoure de la part de ceux-ci, mais de là à les assimiler à ces monstres dépeints de nos jours. Les Vikings étaient de redoutables barbares. Les raisons pour lesquelles on voit les Vikings de cette façon sont simples. [...]
[...] C'étaient des poètes. Un aspect encore plus frappant qui montre la véritable culture de ces Vikings, c'est leur poésie. En effet la poésie scaldique est comme le dit l'auteur grandiose du fait que ni avant, ni depuis, l'Occident n'a inventé une forme de poésie aussi complexe, aussi sophistiquée et élaborée que celle-ci L'auteur décrit aux pages 103-104, les traits propres de cette poésie qui la rende si subtile. Afin d'illustrer ses propos, il donne un exemple page 105, d'une strophe parlant d'un islandais nommé Viga-Glumr Eyjolfsson, qui constate que pendant son absence ses ennemies ont empiété sur son territoire. [...]
[...] Conclusion : Cette époque est une époque violente, et les Vikings ne sont pas les seuls à devoir se quereller pour survivre. [...]
[...] Ils ont colonisé le monde. Dans cette partie, l'auteur nous propose de montrer quelques exemples de traite avec les Vikings de la part des souverains. Il est important de ne pas confondre Vikings et Celtes, car ceux-ci ne font pas partie de la même époque et ils sont bien différents sur de nombreux points. L'exemple le plus développé par l'auteur et l'exemple de la Normandie, le roi préféra donner le duché de Normandie à une chef viking dénommée Rollon, à condition que celui-ci se marie avec sa fille et se christianise, tout en lui donnant allégeance. [...]
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